My world   and the man who has invented my profession  Tesla

 

Tade.Wanclik here in Paris and presenting the  first Fieldbus products of Smar in 1996 products fitted with a numerical  technology born in1994 in Brazil and intended for the instrumentation and the controls of industrial processes and specially for the oil & gas industries, but also used in the nuclear plants and the new aircraft carriers

vae   voyages         read and write japanese go to this site that somebody has done majestuously for french speaking  users but deserves complements.It is perfect to see how japanese is a sophisticated culture

Un peu d 'électrotechnique

 

La fibre optique qui arrive chez nous

Talent    Les guignols de canal +    

Travel at  570 km/h with the new TGV'S

Airbus-a380

EPR Réacteur_pressurisé_européen

Ariane-5

Photos de HOLLANDE

Petite histoire des peuples barbares  

Mazowsze       vidéos sur youtube l'expression de la modernité avec son complément  facebook ou vice-versa. Ces vidéos me redonnent le goût des cultures centenaires  ou de l'expression de ce qu'elles ont été.Elles sont une source d'inspiration et d'émotions.

http://wanclik.free.fr/names.htm 

 

Mazowsze - Furman

Source: www.youtube.com

Koncert z okazji 60-cio lecia PZLPiT Mazowsze / Concert with opportunity 60 years PZLPiT Mazowsze url

 

Vang_stave_church   a XII century built CHURCH coming from the north and rebuilt in Poland

JAN WANC has built the first organs totally built in Europe in Zywiec  Poland in 1381

Jan Wanc

Klemens Janicki Ianicius 1516-1543    

 

Tristium_liberSur moi-même pour lapostérité

  

 HYDROPIS    genetics eupedia R1a  H2a2

   facebook

Le pétrole au Brésil , une province de 150.000 km2 à 8 km de profondeur sous une couche de sel contenant des milliards de barrils

nouveaux cartables au PORTUGAL

 

 

Voyage_Scandinavie_Oslo_Copenhague

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http://tade.wanclik.free.fr/salon.htm

http://wanclik.free.fr/electrotec.htm

http://wanclik.free.fr/premier_pc.htm

 

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=UrvfqYCFZ9k&hl=fr


http://www.youtube.com/watch?v=uqcrEbH3vWE

 

http://www.deezer.com/fr/music/georges-brassens#music/georges-brassens

 

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なさい
 

hon yaku shi nasai

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Alphabets

ABOUT GENEALOGY of people having the name wanclik janik de souza tellechea.WANC or WANDS is a name of people belonging to the tribe of the Vandales (5 century) which themselves were probably descendants of the VENEDES who appeared in eastern Europe in 7 BC;

IK is the german ICH , I  in english

L has been included to make the sound easier to say:

I am wende ICH BIN WENDer je suis wende in old german seems to me very logic.

A Leipzig des personnes s 'appellent WENDL, WENDT

 En polonais, allemands se dit niemcy, ceux qui ne parlent pas la langue

Je viens d'entendre dans Leipzig, une personne qui disait  Ich sahe , qui se dirait en allemand  ich sage :je dis.  Cette expression m'a fait penser que saschsen  , saxon, vient peut-être du mot parler , comme , le mot niemcy décrit ceux qui ne parlent pas la languequ'on comprend. Les slaves sont arrivés en SAXE  au sixième siècle, pour fuir l'esclavage décidé par l'empereur Justinien vainqueur, en échange de leur vie sauve.

 

"Men are not prisoners of fate,

 but only prisoners of their own minds"

Franklin Delano Roosevelt (1882 — 1945), thirty-second President of the United States


(April 12, 1945, F.D. Roosevelt dead)

Les hommes ne sont pas des prisonniers d'un destin,

mais seulement prisonniers de leurs propres pensées

 

Saint Etienne      PHOTOS

F NOM :WANCLIK

Vendil

Vendel

venedi

vindelicia

Vindolanda

VINčA-CULTURE

Sarmates_Venedes

extraits sur les vandales_wendes_venethes

Veneti: First Builders of European Community: Tracing the History and Language of Early Ancestors of Slovenes

Vénètes paralleles

 origines probables du nom:les tribus Vénèdes/Vénèthes citées par Jules César  ou les Vandales  qui vivaient en Silésie ou leurs descendantes :les Wendes.Toute une lignée d'empereurs romains s'est appelée

Vandalius clik

Les vandales

les vandales wandilier

Koncepcia pochodzenia słowianów

Stilicon

WANDA fut la princesse qui se jeta dans la Vistule pour ne pas avoir à épouser un prince

dont elle ne voulait pas. vanda

LIK ou LIAK vient peut-être de LIECH nom ancien des polonais;Nous aurions donc

VandalePolonais

Wamba était un roi wisigoth

dynastie des wisigoths

le mot vandale serait la version latine du mot wendland, pays des wendes qui pour les germains signifiait :pays des slaves, et qui se situait autour de BRANDEBURG  

et HANNOVRE

Krakow

Vand signifie l'eau en danois

 

The epithet, Dyaus pitar, is simply Zeus pater — Zeus the father; or, as it is spelled in Latin, Jupiter. Another of his names, Janita, is the Sanscrit for genetor, a title of Zeus as the father or producer.

 

Les de Souza sont des descendands de BASTO premier roi wisigod voir aussi

de Souza

Chronologie

es Wisigoths au Portugal

GOVERNADORES

 

Glasvinda Balthes

Je pense qu'un nom goth contenant vind doit être porteur du sens  "wende" vendel , venete etc.

 

Wendschlag

 

 Veneti: First Builders of European Community: Tracing the History and Language of Early Ancestors of Slovenes

 

dictionnaire latin anglais

wenske POLABE 

Am längsten hatte Polabisch im hannoveranischen WendlandBestand, dem heutigen niedersächsischen Kreis Lüchow-Dannenberg.

vistula veneti

DISSERTATION pdf

 DISSERTATION htm

BOOKS htm

Wenden

Les récits nous apprennent que, chez les Indo-Européens, la naissance biologique devait être suivie d'une reconnaissance juridique, faute de laquelle l'enfant n'aurait pas été intégré au clan et, par voie de conséquence, n'aurait pu survivre.

click to see the reference to ianicius

CV FRANCAIS   CV FRANCAIS DOC

CONSULTANT SUPERINTENDANT ELECTRICIEN

CV ENGLISH HTM  cv english_doc.  

ELECTROTECHNICIAN

 

NOM:JANIK: Jana en sanscrit :personne, a donné le nom du roi  Jannée, Jani chez les lettons ,ou Jaani en estonien,(au18ème siècle les dernières superstitions païennes ,lorsqu'elles n'avaient pas disparu, s'effacèrent derrière les rites chrétiens ;c'est le cas du solstice d'été devenu la fête de la Saint Jean); on peut trouver des similitudes entre le Janis de la mythologie indo-européenne et le Janus à deux visages des romains, Deviane en Inde ,Janis chez les Germains,Ani chez les Etrusques et Yan chez les anciens slavons, peut-être Ani chez les Arméniens. Ani vient d'Egypte, d'après les dernières découvertes

G PRENOM :Thaddée prénom biblique porté par un frère de JC mais très peu utilisé hors de Pologne, où il est écrit Tadeusz ou Tadziu sous la forme d'un diminutif.; Ce prénom ancien se retrouve dans un nom de tribu connue au 8ème siècle .Et ce que je trouve intéressant de savoir, est que mon Adn positionne mes ancêtres féminines comme venant du Tadzikistan, région d 'où sont venus les ariens. Les Goths étaient arianistes.

Klemens Janik              ELEGIA_VII

Une tribu vivant sur les terres anciennement Vénètes se serait appellée Thadesi

Thaddee il y une vingtaine de Thaddée nés en France depuis 1945

Installés aux frontières de l'empire romain, les Goths furent, dès 230, à l'origine des premières grandes invasions barbares que subit l'empire. En 267, les Goths pillèrent la Thrace, la Macédoine et la Grèce. En 269, les Romains, menés par l'empereurClaude II le Gothique, leur firent subir une terrible défaite à la bataille de Naissus et, en 271, ils furent repoussés jusqu'au Danube. Ce groupe, les futurs Wisigoths, s'installa alors de l'autre côté du Danube et établit un royaume indépendant dans la province romaine abandonnée de Dacie. Pendant ce temps, les Goths restés en Ukraine établirent un vaste et puissant royaume le long de la mer Noire. Ils devinrent les Ostrogoths.

Les Goths ont été brièvement réunis sous une couronne unique, au début du VIe siècle, lors du règne du roi ostrogoth Théodoric le Grand, qui fut le régent du royaume wisigoth pendant presque deux décennies.

Les Goths furent le premier peuple barbare a être christianisé. L'évêque Wulfila traduisit la Bible en gotique et convertit les Goths à l'arianisme, une des premièreshérésies du christianisme et qui contribua à marquer les différences entre Romains et Barbares.

Selon Procope de Césarée, Jordanès et Maurice le stratège, les premiers Slaves comptaient les

  • Vénètes,
  • Wendes, avec leur capitale Wineta détruite en 1173 puis reconstruite par les danois sur ses cendres sur les lieux de l'actuelle ville polonaise de Wolin.WENCESLAW , Adalbert fut un de ses evêques avant la disparition de la ville.
  • Slovènes /Vénètes
  • Antes.

La capitale des Vénètes était Ventspils, celle des Wendes était Wineta

 Le nom wenc wend wenz wand wandz est clairement identificateur d'appartenance ethnique. On le retrouve aujourd'hui en Saxe sous la forme wendt, wenzel,wendl,et un peu partout sous la forme wandel, wendel,wenzel.Le ik peut très bien jouer la fonction de itz comme dans wandlitz, qui était un village de pêcheurs wendes, sur un territoire appartenant à l'église au moyen-âge.Le aurait été ajouté pour fluidifier le son, d'après Boff.

WANDALUS ET TUISCO  seraient pour certains, descendants de Japhet.fils de Noah

Noah

Tuisco se retrouve en italien ,dans tedesco

Wanze signifie même poux, pour bien montrer l'affection qu'on pouvait bien porter aux autres,les gens différents qui ne parlaient pas une langue que l 'on pourrait comprendre.

Pour les slaves, "niemcy" signifie: les gens avec qui on ne peux pas s'entendre, puisqu' on ne peux pas les comprendre.

Abraham ben Jacob has been in Wineta   Barth-Vineta

http://wanclik.free.fr/vistula_veneti.htm

GUTONS  Curiosités

SARMATY            Polska   Formation des peuples slaves

Poles  Lendians


http://runeberg.org/

FAUST en allemand

http://www.gk.ro/sarmizegetusa/invaziile/germanii/asdingii.htm

I  VOYAGES dans 55   pays sur quatre continents pour travailler ou tout simplement pour profiter de la vie d'homme libre et indépendant qui profite de sa liberté et étudie des langues pour pouvoir apprécier son plaisir lorsqu'il zape la télé ou lorsqu'il voyage.sur internet  ou sur le terrain..L'étude des langues doit être un plaisir pour être fructueuse.

L'apprentissage est laborieux mais on ne  persiste que si on voit des résultats. Il ne coûte pas cher,et il suffit d'avoir accès aux médias et être disponible.

J'ai étudié l'anglais à Londres , à Newhaven ,à Hambourg et à l'heure de mon bilan, de tout ce que j'ai pu faire au cours de ma vie, je constate que c'est cela qui m'a le plus rapporté, puisque cela me rapporte encore et toujours, dans tout ce que je fais. Cette langue est un passe-partout. Toutes les autres sont des clés.

J'ai fait un voyage de deux semaines en Europe de  l'est, et j'ai souvent eu l'impression  de reconnaître des gens qui parlaient le polonais, alors que oui, ils avaient dit quelque chose qui ressemblait à du polonais, mais c'était une autre langue..

Il est possible que l'analyse du mot ukrainien

RO Z UM I TY

soit correcte et permette de penser que notre vocabulaire à été construit comme le basque ou le chinois

 

 

Les Troyens_Thraces après 1184BC

 

Les noms que portaient Clovis et tous les autres avaient une signification

Wineta

Wineta(znana jest również jako Jomsborg lub Jom), legendarny gród i port zlatarnią morską, duży ośrodek handlu Słowian (les slaves) u ujścia Odry, wg legendy zatopiony przez morze za odmowę przyjęcia chrztu. Dokładne położenie jest nieznane, ale na wyspie Wolin lub sąsiednich istniało miasto i ośrodek handlu.

Miasto zniszczone w 1173 roku po najeździe norweskim. Założona najprawdopodobniej przez Słowian, przez pewien czas znajdowała się w rękachWikingów. Największe X-wieczne miasto na obecnym terenie Polski (ludność: około 9 tysięcy - dla porównania Gniezno i Poznań: 4 tysiące). Nie znaleziono jej ruin na wyspie Wolin (choć jej istnienia dowodzą liczne źródła, w tym Kronika Galla Anonima czy Kronika Słowian Helmolda) lecz podejrzewa się, że znajdują się one pod współczesnym miastem Wolin.

 

 

J FIELDBUS  le controle de process par des bus de terrain numériques mis au point au Brésil en 1994 et proposé en France dès 1995 continue à s'implanter dans l'industrie .Cette technologie a ouvert la boite de pandore puisqu'elle se base sur des modems rapides qui n'existaient pas avant elle, et c'est son concept et la grande vitesse d'exécution qui ont rendu possible la création  de contrôles de process précis et confiables  que nous avons aujourd'hui dans tous les environnements et en particuliers les environnement auxquels elle était destinée et où cette technologie propose des solutions parfaites puisque sans risque:  les zones présentant habituellement  des risques d'explosion

Cette technologie a fait le passage de l' ère des modems lents à celle des modems rapides, qui nous a apporté la téléphonie d'aujourd'hui.

Il fallait sauter cette barrière.

A la rigueur , peu importe qui a contribué à le faire, l'important étant que cela ait été réussi.

 

 

Wineta (connue aussi comme Jomsborg ou Jom) a été une ville légendaire slave et un port imposant pourvu de phare et d'un grand centre commercial , situé à l'embouchure de l'Oder;

D'après la légende,la ville fut engloutie par la mer parce que ses habitants refusaient d' accepter le baptême.

Elle était la capitale des Wendes, mais était peuplée par des gens de toutes origines. Les saxons avaient le droit de l'habiter à conditions qu'ils s'abstiennent de pratiquer la religion chrétienne.

Elle était connue des arabes.

La vérité au sujet de Wineta serait connue depuis longtemps, mais comme pour beaucoup d'autres choses, il aurait été jugé préférable d'entretenir la fumée, pour faire diversion et occulter les commanditaires de la destruction attribuée aux danois. On se doute bien qui aurait bien pût ordonner cela. Les mêmes ou leurs continuateurs sont venus à Albi un peu plus tard, avec les mêmes intentions. Mais la cathédrale était imprenable ou indestructible.

C'étaient les sherifs de l'époque.

Miasto zniszczone w 1173 roku po najeździe norweskim.

 

L'ELECTROTECHNIQUE est une science appliquée exigente. L'électrotechnicien complet qui domine sa technique principale qui est l'électricité, domine l'instrumentation,ou modestement domine une petite parcelle de cet océan qu'est l'électronique, les automatismes,la supervision est l'homme pivôt, le traducteur l'interprête de toute équipe pluridisciplinaire qui construit un procédé industriel et cela ,en particulier pendant les mises en routes;l'électricien compétent est le plus souvent un homme ouvert.il n'est pas souvent le maître d'oeuvre ou le maître d'ouvrage sauf pour les travaux électriques où il est vraiment le seul à pouvoir agir à bon escient...

 

DES ELECTRICIENS ONT CHANGE LE MONDE

 CELUI A QUI ON DOIT TOUT FUT TESLA;

quand ya pas d 'élec ya rien.

 

Si au moins un d'entre -eux n'avait pas existé, il n'y aurait pas l'informatique telle qu'elle est, et on en serait encore aux cartes perforées puisque ceux qui avaient tous les pouvoirs n'en voulaient pas.

Un autre électricien vient de gagner le prix Nobel de physique

Clementis Ianicii, 17/11//1516 urodzony w Januszkowie pod Zninem. mort à Cracovie vers la fin de 1542, ou vers le début de 1543 (avant le 12 février 1543)

 

KLEMENS IANICIUS has been a recognized polish writer in latin . He has been a contemporean of Kopernik.

Carmina biogram carmina doc

famous_poles

 

Avec un nom comme le nôtre nous sommes forcément des descendants de Venèdes ,de Vandales ou de Wendes ;tous ces peuples semblent avoir été des descendants des lignages R1a , M173  venus de Omsk, Kabul,(sanscrit lithuanien) Baghdad,et M17 les mêmes ensuite formés autour de la mer Noire , certains d'entr'eux  sont devenus des Wisigoths ;.Au cours des grandes migrations ils ont établi la Wandalusia, ils ont été à Carthage,ont écumé la mer  méditerranée.Ils appelaient la Pologne de Wendland,ils ont construit des cathédrales gothiques et s'il ne restait que cela , ce serait suffisant pour démontrer qu'ils n'ont pas été aussi nocifs que nos langues veulent bien le signifier.Des Vénètes, peut-être pas les mêmes ont établi Vannes .D'autres Vénetes ont vécu en Pologne ils auraient vécu  entre autre à Vineta, Wolin ville disparue et qui selon des témoins, arabes, aurait été  une plus grandes villes de l'époque ,c'est à dire la plus grande après Constantinople aux alentours du VIII ème siècle;.Plus tard les chevaliers teutoniques étaient installés à Wenden.(Cesis) Lettonie..

 

 Une culture néolithique a existé sur un lieu appelé Vincz aujourd'hui.

 

Un Vandale :Stilicon, aux commandes de l'empire romain 

402

Ruler of Western Roman Empire Stilihon allied with Huns and Alans, who help Stilihon to fight off attack of German tribes.

405

New help by Huns and Alans to Stilihon to fight off attack of German tribes (Suewes)

405

Alans join Vandals in invasion to Gallia (modern France).

 

The document contains a list of the tribes inCentral-Eastern Europe east of theElbe and north of the Danube rivers (most of them of Slavonic origin:Vulgarii, Ruzzi, etc). There is also some information about the number of strongholds (civitates) possessed by some of the tribes and other information. Henryk Łowmiański demonstrated that the list consists of two parts, which may be datable to different periods and attributed to distinct authors.[4]

The provenance of the document is disputed. Although early commentators suggested that it could have been compiled inRegensburg[5], the list seems to have been taken from Codex Reginbertinus II, recorded in the 9th century in the library of theReichenau Abbey and named after a local librarian.[6] Based on these findings, Bischoff attributes it to a monk active at Reichenau from the830s to 850s.[7]

Nazarenko finds it more probable that the list was composed in the 870s, when Saint Methodius is believed to have resided at Reichenau. The document may have been connected with his missions in the Slavic lands.[8]

 

=== ---

---   __ Les wisigoths auraient aussi vécu en Gascogne et même Henri IV  aurait revendiqué en être un et son cheval blanc ou son panache blanc ont peut-être été choisis pour être un des emblèmes  de rattachement et d'appartenance identificateurs de cette appartenance bannie..Le cheval blanc était un emblème des wisigoths slaves arianistes.Mais qui aurait bien pu donner le nom à la Vendée ?... Le département est proche de Vannes, une ville Vénète sous Jules César

http://www.familytreedna.com/mtDNA_tutorial.html

109615 Nichidwashichinove

Origine de mes ancêtres femmes La région du Pamir d'où sont parties les tribus de langues indo- iranniennes  _

rootsweb

http://wanclik.free.fr/15032008tbil.htm

29 HAPLOGROUPS R1A

HaplogroupR1a

Vendil

 

FRANCISZEK WANCLIK

ANNA JANIK WANCLIK

KATARZYNA WANCLIK

BOLESLAW WANCLIK 

wencelik   wenzlik

POLAND   US-MA-BOSTON-PETS   51-56

http://tade.wanclik.free.fr/haplogroup_h.htm

http://wanclik.free.fr/stryszawa__malec.htm

http://danishdemes.org/YDNA-results-HgR1a.shtml

http://www.familytreedna.com/GDRules_67.html

http://linguistlist.org/forms/langs/GetListOfAncientLgs.html

Słowianie nigdy siebie Wenetami nie nazywali. ale Połabianie mówili venst'ě – ‘po połabsku’.

Les slaves, en général, ne se sont jamais eux-mêmes appellés  vénètes, mais les polabes qui sont des slaves, disaient et disent venst'ě

 Les premiers résultats des analyses concernant toutes mes ancêtres femmes indiquent le tadjikistan comme lieu de passage.

 Je constate amusé que tadjik est une forme de diminutif de mon prénom Thaddée en polonais;

Il y a eu aussi une tribu considérée comme nombreuse apellée Thadesi , voir le lien

http://en.wikipedia.org/wiki/Bavarian_Geographer

On voit qu'il y a eu des gens qu'on appelait vénètes un peu partout en  Europe, dans la Vendée d'aujourd'hui, même si je suis pas sûr que Vannes soit  en Vendée

, à Wolin, à Venise;

mais VINCZA existe et est peuplée depuis des milliers d'années et il n'est pas étonnant que ces peuples défendent leur identité, comme le font les basques, les bretons, les irlandais.

Thuringen

maps of migrations

Le Tadjikistan

Pays le plus montagneux de la CEI (7495m au pic Kommunizma) qui se termine au sud-ouest par la haute vallée de l'Amou-Daria, au sud-est par le Pamir.

Le Tadjikistan est un pays occupé majoritairement par des chaînes de montagnes, où de nombreux pics culminent entre 5 000 m et 7 500 m. ...
befr.libertytv.com/Php/Countryinfo/info_pays.php?country_id=141 - 46k -En cache - Pages similaires

Le Tadjikistan est une cote mal taillée. Les deux grandes villes historiques de la culture tadjike, Samarkand et Boukhara, ont été intégrées à l'Ouzbékistan ...
www.universalis.fr/encyclopedie/T318230/TADJIKISTAN_REPUBLIQUE_DU.htm - 52k

Le Tadjikistan est une terre principalement musulmane, nichée au cœur de l’Asie centrale, dont les reliefs et les plaines ont été foulées par les caravanes...http://www.lamediatheque.be/dec/pays_regions_peuples_villes/tadjikistan.php
 

http://www.visoterra.com/cartes/tadjikistan.html

Sur le plan linguistique, les Tadjiks sont étroitement liés aux Persans, qui depuis les temps anciens utilisent le terme « Aryen » pour se décrire ainsi que leur langue.

http://www.asie-centrale.com/tadjikistan/

http://www.france-cei.com/tadjikistan.htm

http://www.arvel-voyages.com/voyages/990000/52.asp

 

 

 

O   VOYAGES avant l'ère des Airbus 380

P  IANICCI un cas unique de fils de laboureur polonais devenu écrivain et poète en latin au point d'être nommé lauréat par un pape au 16 ème siècle.Il est mort à l'âge de 27 ans en 1543 comme Kopernik.et JANICKI traducteur polonais de la bible de Brzesc

IANICII  contemporain de

Pierre de Ronsard

(septembre 1524 – décembre 1585),

Q  WANC  le constructeur des premières orques non importées d'orient , il doit avoir été un vénete/vandale/wende et a peut-être été de la lignée desWenceslaw

R TECHNICIEN     SUPERIEUR ELECTROTECHNICIENCONTROLE

 

 COMMANDE AUTOMATISMES

T time and currency converterreal_euro

Les oligos  les algues

a-bee santé huiles

Nutriendatabase

vaccins

http://wanclik.free.fr/tofu.htm

U   

 QUANTUM qui change notre vie Niels Bohr

V  Notre globe maintenant

W TRADUCTEURS

belles images

X ELECTROTECHNICIEN

Y   WOJNICZ

 

wineta   WENDEN

Le temps

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WORLD WIDE GUIDE

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CARTES MICHELIN

Mappy 

 

Eurolines

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 "It is only when it grows dark,that the stars shine."  Sir Winston Churchill.

 

                       

MORE CITATIONS OF SIR WINSTON CHURCHILL the wise man who has done, what had to be done. He is a descendant of the Visigoth Kings, like Georges Washington.

"The opposite of a correct statement is a false statement. But the opposite of a profound truth may well be another profound truth" Niels Bohr

L 'intelligence est une aventure

(français)

Intelligence is an adventure

(anglais)

Intelligenz ist einAbenteuer

(allemand)

a inteligência é uma aventura

(portugais)

chitachi wa booken de aru

(japanese) (katakana,hiragana,kanji) 1 2 keyboards

zhì  shì mòu xiǎn

mandarin pin yin   20000 ideograms

 

l'intelligenza è un'avventura

(italien)

la inteligenciaes una aventura

(espagnol)

'aqala 'indi at-tahaqiiqmutawwihaaat

 ءقل ءنضإ اتحقإقمطوحاطarabic) english keyboards

Rozum jestprzygodą

(polonais)

About Poland and polish

сведенией будетприключение

Swiedieniieii budiotprikliutchenie

(russe)

बुद्धिहोनाकार

Xi VINTArya

HINDI    devanagari

  INTELLIGENCE IS AN ADVENTURE, BECAUSE YOU ONLY DEVELOP IT , ACTING.

  BORN WITH EVERYTHING, IF YOU DO NOTHING, YOU BECOME NOTHING;

CHINESE CHARACTER

RO = to open 

Z = from within, out of, of

UM = knowledge,wisdom,mind 

 I = and.

TY = you.

see how languages  like

ukrainian,basque, chinese

are or can be connected


Il semble que la similarité entre les langues turques, mongoles et toungouses peut être due au contact prolongé avec les Hsiu Nu (d'où la ressemblance avec le chinois) et à la domination qu'ils ont exercé dans la région.

Cette influence s'est peut-être  exercée au moment de la formation des langues des Thraces,qui semblent avoir été  les ancêtres des Vikings , qui eux ,sont les ancêtres des anglais..

Les Hsiu Nu étaient présents en Egypte lors de la construction de certaines pyramides. Ce que les Ukrainiens comprennent à Troie aujourd'hui était la langue qui est était utilisée il y a trois mille ans.

Les Slovènes revendiquent être des descendants de gens qui utilisaient la roue il y a sept mille ans, et être en fait des vénètes. Il est encore difficile de distinguer slave de słowianie, , car l'un ne signifie pas l'autre, même si les mots se ressemblent., ils représentent des choses différentes. Le mot slave est utilisé depuis le cinquième siècle alors que les  słowianie/vénètes existent  depuis depuis des milliers d'années., de façon prouvée par l'archéologie. 

To clarify some problems read Veneti: First Builders of European Community: Tracing the History and Language of Early Ancestors of Slovenes

  Let us see what the names, as transcribed by the Romans, mean by using Slovenian and Sanskrit by starting with the river names, since these are usually the most ancient:times

    Drava (Dravus) – Slo:  drveša  flowing fast.  In Skt:  running fast.

    Kolpa (Colapis) – Skt:  kala  of a dark color & apas water.

    Krka (Colapis) – Skt:  krka  white (the Krka is known for its white rapids; Karkari is a river in India).

    Mura (Murius) – Skt:  mura  rushing, impetuous.

    Nadiza (Natissa) – Slo:  large spring; Skt:  queen of rivers (Nadiza was once the largest river of the region in Venezia, until an earthquake changed the course of its tributaries, see Verbovšek).

    Sava (Savus) – Skt:  sava:  water, juice of flowers, libation.

    Savinja – Skt:  savini  a river.

    Soča (Sontius) – Slo:  sočna  luscious; Skt:  suca:  pure, clear, clean.

    Similarly, place names that date to Roman and pre-Roman times have meaning in Slovenian and Sanskrit, but not in Latin:

    Kranj (Carnium) – Slo:  krn mountain top, ship's end; Skt:  karna  the ear, helm of a ship.

I

  Ukrainien acheologists understand people living near of the old city of Troy, today Hissarlik,situated in today's Turkey

Learn phonetic japanese vocabulary  by pictures  English-Japanese Picture Dictionary

OR

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.

 

Occupée par des groupes de chasseurs dès 8000 av. J.-C., la région de Berlin est peuplée au début de notre ère par des tribus germaniques, puis, cinq siècles plus tard, par les Wendes. Sa conquête par Charlemagne n'est qu'éphémère. 

En 1147, 
les Wendes sont vaincus par Conrad III de Hohenstaufen, le duc Henri le Lion et le comte Albert l'Ours, qui prend alors le titre de margrave de Brandebourg. Aux environs de 1230 sont fondés les bourgs de Cölln, sur une île de la Sprée (aujourd'hui l'« île des Musées »), et de Berlin, sur la rive droite. Les deux villes adhérèrent en 1359 à la Ligue hanséatique. En 1415, Berlin-Cölln, résidence des électeurs de Brandebourg, passe sous la domination des Hohenzollern, qui les réunissent pour en faire leur capitale.

Le nom de Slaves est mentionné pour la première fois en 500 après J.-C. : il désigne des peuples indo-européens, voisins sur le plan ethnolinguistique et survenus tardivement dans l'Histoire.

The Wends are partly a term by some held equivalent to Vandals through a latinized form of Wendland, and partly a German abbreviation (also often used in English) for some Slavic people from north-central Europe. The term has not historically enjoyed consistent usage, but is most employed specifically for one or two Slavic groups and as an over-arching term.

 

The Franks referred to most Slavs living between the Odra and Laba as either Wends or Sorbs, while in Slavic literature these people are calledPolabian Slavs.

Przeworsk_culture

Relation_between_Veneti_and_Slavs

 

 

 

 

 

The Basques worshipped Djaun-Giokkoak (Janicot), the All-Father All-Mother who created the three forms of light: Egia (truth), the light of the soul, Begia (eye), the light of the body and Etchia (sun), the light of the earthly day.

CERTAINS

Vends

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The Vends were a small tribe who in the 12th-16th century lived in the area around the town of Wenden (now Cēsis) in what is now north-central Latvia. The origin of the Vends and their language is disputed; sometimes they are associated with the Western Slavic Wends, while other researchers believe they spoke a Finnic language and were related to the neighboring Livonians and the Votians.

Prior to their arrival in the area of Wenden in the 12th century, the Vends are believed to have settled by the Venta Rivernear the present city of Ventspils in western Latvia. Their proximity to more numerous Finnic and Baltic tribes inclined the Vends to ally with the German crusaders, who began building a stone castle near the older Vendian wooden fortress in1207. The castle of Wenden later became the residence of the Master of the Livonian Order.

Vends may have a connection with the national flag of Latvia. The Rhyme Chronicle of Livonia (Livländische Reimchronik) states that in 1290 when the local militia was recruited to defend Riga, they came from Wenden with a red banner crossed by white, "in the manner of the Vends".

The last known record of the Vends' existence as a distinct entity dates from the 16th century.

See also

*                   Vandals

*                   Vistula Veneti

*                   Wends

 

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Słowianie a Wenetowie.

Słowian w pewnych źródłach określa się jako Wenetów. Na Łotwie leży Ventspils, ‘miasto Wenetów’. Siedziby Wenetów lokowane na zachód od Aestów / Estów / Ostów utożsamianych z Bałtami (por. jednak dzisiejszych fińskich Estończyków). Wenedami nazywali Germanie wielu swych sąsiadów, może od ich własnych nazw, a może nie.

Na terenie obecnej Polski istnieją (istniały) nazwy geograficzne, które nie mają jasnej etymologii słowiańskiej, które wykazują podobieństwo do nazw identyfikowanych jako iliryjskie lub wenetyjskie (= pochodzących z języka nadadriatyckich Wenetów) i które występują grupowo na pewnych ciągłych obszarach. Mamy np. Karpaty (albańskie karpë ‘skała’) czy Tatry.

Problem Wenetów wymaga bardziej szczegółowej analizy.

  • Lud, który Ptolemeusz nazywa Wenetami, zamieszkuje obszary, na których Tacyt jakieś 50 lat przed Ptolemeuszem lokuje zbierające bursztyn plemię Aestii; tych ostatnich brak u Ptolemeusza.
  • Nazwą Veneti określają Herodot, Polybios i liczni autorzy łacińscy plemię żyjące nad Adriatykiem (por. dzisiejsza Wenecja). Ich język jest w jakimś stopniu znany i określany jako bliski italskim lub (w nowszych pracach) wręcz italski, ale zawierający też elementy celtyckie i germańskie.
  • Cezar pisze o plemieniu galijskim Veneti w prowincji Aremorica nad Atlantykiem (por. dziś francuska prowincja Vendée na płd. od ujścia Loary, miasto Vannes w płd. Bretonii).
  • Po walijsku Gwynedd to północna Walia.
  • Jezioro Bodeńskie w starożytności nosiło nazwę Venetus.
  • „Zdaniem H. Łowmiańskiego na terenie Polski, a także Litwy i przyległych obszarów, przed nadejściem Słowian i Bałtów, zamieszkiwał staroindoeuropejski lud Wenedów. Lud ten został wchłonięty lub częściowo wytępiony przez Słowian i Bałtów, lecz pozostała po nim jego nazwa. Nazwę przejęli Germanie i Finowie, którzy swych sąsiadów Słowian, zajmujących dawne ziemie wenedzkie, poczęli określać mianem Wenedów, Wenden, Vene, Venäjä” (Jerzy Ochmański, „Historia Litwy”, str. 26).
  • „Oto w kronice Henryka Łotewskiego z początku XIII w. opisane zostały krótko dziwne a tragiczne dzieje jednego małego ludu na pograniczu litewsko-łotewskim. Plemię zwane Vindi -- powiada kronikarz pod 1206 r. – było już wówczas mało znaczne i ubogie. Wypędzeni znad rzeki Winda, zamieszkali na miejscu, gdzie później Rygę wzniesiono. Ale i tu nie zaznali spokoju, gdyż napadli na nich Kurszowie (jedno z plemion bałtyjskich) i przegnali, wielu zabijając. Resztki Windów zbiegły tedy do ziemi Letgalów i mieszkając wśród nich doczekały się przybycia kapłanów chrześcijańskich i przyjęły chrzest. Pozostał tam po nich gród Ventspils, czyli gród Windów – Wentów. (…) Czy w takim razie Windi – Wenetowie nie potomkami starożytnych Wenetów nad Bałtykiem?” (op. cit, dzięki uprzejmości jednego z moich korespondentów).
  • Dziś na Łotwie znajdziemy dwa miasta o nazwach kojarzących się z Wenetami. Pierwszym jest nadbałtycka Windawa, dzisiejsze Ventspils, o nazwie pochodzenia nadbałtycko-niemieckiego, położona nad rzeką o nazwie Venta. Drugim – Kieś położona na północny wschód od Rygi –Cēsis (rosyjskie Kes'), dawniej zwana jako Wenden.
  • W języku fińskim Venäjä, Venädä, Venät, w estońskim Vene, oznacza Rosję.
  • Dopiero Jordanes w VI wieku n.e. utożsamia Wenetów ze Słowianami pisząc: „ex una stirpe exorti tria nunc nomina ediderunt, id est Venethi, Antes, Sclaveni” (z jednego pnia poczęci trzy teraz ludy wydali z siebie).
  • U Ptolemeusza Odra nosi nazwę Ouiadouas (gen. Ouiadou). Nazwa ta ma etymologię wenetyjską, zgodną z topografią ujścia rzeki: vi- ‘roz-’, co zaś do reszty patrz Aduas, dziś Adda, lewy dopływ Padu (adu ‘strumień, bieg wody’, -a- rozszerzenie nazwy na -u zgodne z tendencją panującą w języku wenetyjskim).
  • Nad Wartą leży Śrem, miasto o nazwie bez etymologii słowiańskiej, za to podobnej do iliryjskiego Sirmium (płd. Panonia – dziś węg.Szerem), trackiej rzeki Sermios (bułg. Strema), wenetyjskiego miasta Sirmio nad Jez. Garda (dziś Sermione) i paru innych nazw z płn. Włoch i okolic. Nazwę Śremu bezzasadnie wiązano ze szronem.
  • Język iliryjski miał być podobny do wenetyjskiego znad Adriatyku.
  • Nazwa Raba ma korzenie iliryjskie (a nie trackie): por. ilir. Arabō, dziś Raba w Panonii i inne, i ma znaczenie ‘Polna, rzeka płynąca przez pola orne’ (iliryjskie arab ‘pole’, por. łac. arvum).
  • Nazwy Sawa (rzeka koło Łańcuta, także miejscowość koło Limanowej), Drawa (dopływ Noteci, także Drawiec, dziś Drzewiec niedaleko Koła oraz wieś Drawce na Spiszu) i Drama (dopływ Kłodnicy, dopływu Odry na Górnym Śląsku; także wieś Dramino na Mazowszu) przypominają nazwę iliryjskich rzek Savos, Dravos (dziś Sawa, Drawa) oraz Drama w Macedonii (nazwa tracka lub iliryjska).
  • Nazwa Tatry ma etymologię celtycką (fr. tertre ‘wzgórze’ z celt.) lub dacką, zob. też iliryjskiego pochodzenia Trtra w Hercegowinie.
  • Nazwa Drwęca (dopływ dln. Wisły) ma korzenie celtyckie (Druentia, dziś Durance, lewy dopływ Rodanu) lub wenetyjskie (Truentus w Picenum, śr.-wsch. Italia).
  • Nazwa Opawa (dopływ Odry) pochodzi prawdopodobnie od iliryjskiego *Apāvus, por. Aponus ‘źródło w kraju Wenetów’, Met-apa‘Międzyrzecze, miejscowość w Etolii’.
  • Nazwa Noteć (staropolskie Noteś) ma odpowiednik Natiso, Natissa – nazwa małej rzeki w kraju Wenetów, wpadającej do Adriatyku; por. też Netisse, dziś Neetze, rzeka w kraju Połabian.
  • Nazwa Wierzyca (lewy dopływ dln. Wisły), pierw. Verissa (rok 1198) ma sufiks -issa, znany z nazw rzek wenetyjskich, oraz rdzeń ten sam co w Werona, miasto nad Adygą.
  • Nazwa Kalisia (Kalisz) może mieć etymologię słowiańską, ale też i iliryjską lub celtycką.
  • Nazwa Veneti ma italoceltycką etymologię: ‘należący do rodu’ (*wen-, ten sam rdzeń, który widać w bretońskim gwenn ‘rasa’, stir. fin‘rodzina’, a dalej w łac. venus ‘miłość’) przy braku etymologii słowiańskiej.
  • Prusowie to kiedyś jeden z ludów bałtyjskich, później germańskich. Ich nazwa może się jednak wywodzić od nazwy Fryzów.
  • Nazwa romańskiej Francji wywodzi się od nazwy germańskich Franków.
  • Nazwa Bułgarzy oznaczała lud turkijski, potem słowiański.
  • Nazwy celtyckich Walijczyków (ang. Welsh), rumuńskich Wołochów i italskich Włochów wywodzą się od określenia jednego z plemion celtyckich (Wolków) zamieszkujących Galię Narbonensis (podbici w 121 p.n.e.); ani Walijczycy, ani Wołosi, ani Włosi nie mają z nimi żadnego związku.
  • Niemiecka nazwa Węgrów, Ungarn, wywodzi się od nazwy Hunów (bądź samych – tak twierdzi Moszyński wbrew Bańkowskiemu, por. chiń. Xiongnu < Hung Nu – bądź od jednego z ich plemion – Ongur, Onogur, którego nazwa ma turkijską etymologię: ‘dziesięć strzał’). Z tego samego źródłosłowu pochodzi i termin polski. Kimkolwiek byli Hunowie, nie wydaje się możliwe, aby mieli cokolwiek wspólnego z Węgrami – Madziarami.
  • Więcej przykładów podobnych przeniesień nazwy z jednego ludu na inny – zob. tutaj.

Mała uwaga: Wojciech Jóźwiak pisze, że sami Słowianie nigdy siebie Wenetami nie nazywali. Nie jest to do końca prawdą. Połabianie mówilivenst'ě – ‘po połabsku’.

Podsumowując: z tego, że Ptolemeusz lokował na ziemiach Prus (sic!) niejakich Wenetów oraz że Jordanes w VI wieku utożsamił Słowian z Wenetami nie wynika, że w czasach Ptolemeusza nazwa ta również musiała oznaczać Słowian i że Słowianie zamieszkiwali wówczas w dzisiejszej Polsce. Mało tego, wydaje się, że pierwotnie m.in. na terenie dzisiejszej Polski mieszkał lud italskich Wenetów, krewniaków tych znad Adriatyku. Jego pierwotna ojczyzna mogła leżeć nad Jeziorem Bodeńskim. Lud ten pozostawił po sobie szereg nazw geograficznych w Polsce płn, pokrewnych nazwom używanym nad Adriatykiem (Vi-aduas, Śrem, Drwęca, Noteć, Wierzyca, może Ina, Minia, Mroga, Odra (por. Mare Adriaticum),Osa). Nazwa tego ludu została później przez Niemców przeniesiona na Słowian (m.in. stąd Ventspils ‘miasto Słowian’ na Łotwie i fiń. Venäjä‘Rosjanie’). Nazwę Wenetów przeniesiono także prawdopodobnie wcześniej na pewne plemiona celtyckie.

W każdym razie wczesne świadectwa o Wenetach niewiele pomagają w ustaleniu praojczyzny Słowian i dlatego przesłanki z nimi związane nie będą w ogóle brane pod uwagę.

2. Wydarzenia we wczesnej historii Słowian.

Wends

In the chronicle of Henri Lotewski of the XIII 's century ,are reported strange facts and tragedies concerning  a small people which had dwelled.atthe border of Lithuania and of Latvia and that was called VINDI, brings back the chronicler who was writing around of the year 1206.

- there remained only few of them and they were modest, but they were driven out of the river banks of the Winda river,et they then settled at the place where the town of Riga was then established. But even there, they could not find peace, because the curoniens (one of the Baltic people)agressed them and constrained  them to escape  while killing a lot of them.

The remainders of these Wendes thus took refuge on the grounds of the Lettigales , They lived in their grounds , when the Christian missionaries came to convert them and baptize them.

Of this escape remained the town of Ventspils, which means the city of the Wendes (...) Cannot one deduce from it ,that Wendes are descendants of old Vénètes of the Baltic ?

 

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"Vend" redirects here. For vend as a letter, see Vend (letter).

The term Wends (German: Wenden, Winden, Danish: Vendere, Swedish: Vender) is used in germanic languages for Slavs living near or within germanic (later German) settlement areas after the migration period. Therefore, this term does not describe a homogeneous people, but is rather applied to various peoples, tribes or groups depending on where and when it is (or was) used.

Today, the term Wends is used primarily in historical contexts, but may also refer to Kashubs, Sorbs or people of Sorbian descent (e.g. Texas Wends).

Contents

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[edit] People termed Wend in the course of history

It is believed that Germanic peoples originally adopted the ethnonym from the ancient Veneti and after the migration period transferred it to their new easterly neighbours, the Slavs (see Relation between Veneti and Slavs for further details).

For the medieval Scandinavians, a Wend (Vender) was a Slav originating from the southern shore of the Baltic sea (Vendland), the term was therefore used to refer to Polabian Slavs like Obotrites, Rugian Slavs, Veleti and Pomeranian tribes.

For people living in medieval Northern Holy Roman Empire and its precursors, especially for the Saxons, a Wend (Wende) was a Slav living west of the Oder River area, an area entitled later as Germania Slavica, settled by the Polabian tribes mentioned above in the north and others, e.g. the Sorbsand the Milceni, in the south.

The Germans in the South used the term Winde instead of Wende and applied it, just as the Germans in the North, to Slavs they had contact with, e.g. Polabian people from Bavaria Slavica or the Slovenians (the names Windic march and Windisch Feistritz are still testimony to this historical denomination).

Following the 8th century, nearly all wendish land was organized in marches by the Frankish kings and their successors. By the 12th century, all wendish lands had become part of the Holy Roman Empire. In the course of the Ostsiedlung, reaching its peak in the 12th to 14th centuries, this land was settled by Germans and in all meanings reorganized. The term Wends now referred to Slavic-speaking minorities within the empire, whereas the Slavs east of the new border were not termed Wends, but Poles, Czechs etc.

Due to the process of assimilation following German settlement, many Slavs mixed with the Germans and/or adopted their culture and language. Only some rural communities that did not show strong admixture with Germans and continued to use West Slavic tongues were still termed Wends. With the gradual decline of the use of these local Slavic tongues, the term Wends slowly disappeared, too.

Today, only two groups of Wends still exist: the Lusatian Sorbs in present-day eastern Germany and the Pomeranian Kashubs in present-day northern Poland. Yet, today they are referred to as Sorbs and Kashubs rather than Wends.

[edit] History of the Wends

Wends on the shores of Baltic Sea in 9th century Europe

Wends on the shores of Baltic Sea in 9th century Europe

[edit] Early sources

In the third book of his Geographia, Ptolemy mentions the Ouenedai among other dwellers on the Baltic shore in the middle of the 2nd century CE. Some early scholars suggested the Ouenedai are synonymous with the Wends,[1] however, based on linguistic facts, modern academic views now argue that the Ouenedai were ethnolinguistically different from Slavs and hence cannot be equated with Wends.[2]

[edit] Rise (500-1000 AD)

As a part of the Slavic migrations in the first millennium, splitting the just evolved Slav ethnicity into Southern, Eastern and Western groups, someWest Slavs moved into the areas between the Elbe and Oder Rivers from east to west and from south to north. There, they assimilated the remainingGermanic population that had not left the area in the Migration period. Their German neighbors adapted the term they had been using for peoples east of the Elbe River before to the Slavs, calling them Wends as they called the Venedi before and probably the Vandals also.

While the Wends were arriving in so-called Germania Slavica as large homogeneous groups, they soon divided into a variety of small tribes, with large strips of woodland separating one tribal settlement area from another. Their tribal names were derived from local place names, sometimes adopting the Germanic tradition (e.g. Heveller from Havel, Rujanes from Rugians). Settlements were secured by round burghs made of wood and clay, where either people could retreat in case of a raid from the neighboring tribe or used as military strongholds or outposts.

Some tribes unified to larger, duchy-like units. E.g., the Obotrites evolved from the unification of the Holstein and Western Mecklenburg tribes led by mighty dukes known for their raids into German Saxony. The Pomeranians, the only Wends east of the Oder River (in contrast, the Poles south of the Warthe River are not called Wends), emerged from the tribes north of the Warthe River and around the mouth of the Oder River, and were led by a duke, too. The Liutizians were an alliance of tribes living between Obotrites and Pomeranians. They did not unify under a duke, but remained independent and had their leaders meet and decide in the temple of Rethra.

The Wends of Pomerania are named by Saxo Grammaticus as having taken part in the Battle of Bråvalla on the side of the Danes.[3]

In 983, many Wend tribes participated in a great uprising against the Holy Roman Empire, which before had established Christian missions, German colonies and German administrative institutions (Marken such as Nordmark and Billungermark) in pagan Wendish territories. The uprising was successful and the Wends delayed Germanisation for about two centuries.

[edit] Decline (1000-1200 AD)

Main article: Wendish Crusade

After that victory, Wends were under increasing pressure from Germans, Danes and Poles. The Polish invaded Pomerania several times. The Danish often raided the Baltic shores (and, in turn, were often raided by the Wends). The Holy Roman Empire and its margraves tried to restore their marches.

In 1068/69, a German expedition took and destroyed Rethra, one of the major pagan Wend temples. The Wendish religious centre shifted toArkona thereafter. In 1124 and 1128, the Pomeranians and some Liutizians were baptised. In 1147, the Wend crusade took place.

In 1168 during the Northern Crusades, Denmark mounted a crusade lead by Bishop Absalon and King Valdemar the Great against the Wends of Rugia in order to convert them to Christianity. They captured and destroyed Arkona, the Wendish temple fortress, and tore down the statue of the Wendish god, Svantevit. With the capitulation of the Rugian Wends, the last independent pagan Wendish were defeated by the surrounding Christian feudal powers.

From 12th to 14th century, German colonists were called in the Wend lands and settled there in large numbers, changing the area from Slav to German. The settlers were called in by local dukes and monasteries to repopulate land devastated in the wars, to cultivate the large woodlands and heavy soils that have not been settled before, and to found cities as part of the "Ostsiedlung" (German eastward expansion).

The German population assimilated most of the Wends, making them disappear as an ethnic minority except for parts of the Kashubs and Sorbs. Yet, many place names and some family names in eastern Germany still are of Wendish origin today. Also, the Dukes of Mecklenburg, of Rügen and of Pomerania had Wendish ancestors.

Between 1540 and 1973, the kings of Sweden were officially called king of the Swedes, the Geats and the Wends (in Latin translation king of Suiones, Goths and Vandals) (Sw. Svears, Götes och Wendes Konung). The current monarch, Carl XVI Gustaf would be able to use the same title,[citation needed] but chose his royal title to be simply King of Sweden (Sveriges Konung), thereby changing an age-old tradition.

Since the Middle Age, the kings of Denmark and Denmark–Norway carried the titles King of the Wends and Goths. The use of both titles was discontinued in 1972.

[edit] Other uses

The term Wends was also used in history in the following meanings:

  1. The Franks referred to most Slavs living between the Oder and Elbe rivers as either Wends or Sorbs, while in Slavic literature these people are called Polabian Slavs.
  2. Until mid 19th Century, it used to be the most common German name for Slovenians. With the diffusion of the term slowenisch for theSlovenian language and Slowenen for Slovenes, the words windisch and Winde or Wende became a derogatory one. The same development could be seen in the case of the Hungarian Slovenes which used to be known under the name "Vends".
  3. In general, a German name for West Slavic people formerly inhabiting territories of pre-World War II Pomerania and historical eastern Germany. The term Wends was used in connection to all Slavs west of Poland and north of Bohemia  Polabians, Pomeranians and Sorbs. It was also used to denote the Slovaks in German texts before ca. 1400.
  4. German and English name for Sorbs (White Serbs), a Slavic people who moved into Central Europe during the great migration, most likely in response to pressure by the westward movement of warlike peoples such as the Huns and Avars. Some of their descendants, also called Wends or Lusatian Sorbs (Łužyski Serby), still live in Lusatia today, where the Sorbian language is maintained in schools. Many Wends were driven out of the Kingdom of Prussia during the Revolutions of 1848. Many Lusatian Wends immigrated to countries that welcomed them as a source of cheap labor, including the United States and Australia. In the United States, the majority of Wends settled in Texas, where they became some of the earliest members of the Missouri Synod of the Lutheran church. A notable settlement of Wends in Texas is the town ofSerbin, in Lee County, where a church, St. Paul's Lutheran Church, stands as a typical example of Wendish architecture. In St. Paul's, the pulpit is located in the balcony of the church.
  5. A Finnish historian, Matti Klinge, has speculated that the words Wends or Vandals used in Scandinavian sources occasionally meant all peoples of the eastern coast of the Baltic Sea from Pomerania to Finland, including some Finnic peoples. The existence of these supposed Finnic Wends is far from clear. In the 13th century there was indeed a people called Wends or Vends living as far as northern Latvia around the city of Wenden and it is not known if they were indeed Slavs as their name suggests. Some researchers think they were related to Finnic-speaking Votians.
  6. Some sources speculate that, after the late 8th Century Slav migrations following on the earlier Germanic migrations, Wendish settlements in the Adriatic coastal area of confluence between Italian Romans, Germans, and Slavs gave rise to the name: Venezia / Venise / Venedig (Venice).

[edit] References

  1. ^ A History of Pagan Europe By Prudence Jones, Nigel Pennick; p. 195; ISBN 0415091365
  2. ^ Schenker, Alexander M. (1996). The Dawn of Slavic: an Introduction to Slavic Philology. New Haven: Yale University Press, 1996.ISBN 0-300-05846-2; p. 3-5;
  3. ^ Pre- and Proto-historic Finns by John Abercromby p.141

[edit] See also

[edit] External links

Retrieved from "http://en.wikipedia.org/wiki/Wends"

Les gens que j'aime sans les avoir connus.. Persons I  like,without having known them

Lechitic languages

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Distribution of Slavic languages

Distribution of Slavic languages

The Lechitic languages include three languages spoken in Central Europe, mainly in Poland, and historically also in Brandenburg, Mecklenburg, and Vorpommern, in the north-eastern region of modern Germany. This language group is a branch of the larger West Slavic language family. The Lechitic group includes:

The characteristics of Lechitic languages are:

  • Mutation of Proto-Slavic ě, e, ę before alveolars into a, o, ą, ǫ.
  • Continuation of Proto-Slavic dj, , gi as dz [ʒ], dze [ʒe], dzy [ʒj].
  • Lack of g  h transition. (observation:hearing an old woman say ich sahe , insisting on hh,came an idea in my mind: nobody knows the origin of the term ;saxon , knowing that the germans are called niemcy by the slaves, those who do not speak our language,  I have thought that , wenn told SAHHE  Ich sage, could be the origin the the part of the word sachsen , saxony,for the same reason why the slaves call the germans: those that cannot speak, the other side is saying , those that speak to define who they are..Analogically lechy___czehy
  • Preservation of nasal vowels.
  • the so-called fourth palatalization of velars in Polish and Kashubian

The term Lechitic derives from the old alternative name *lěchy (see Lechia) for the Lechitic peoples (in contrast to *čěchy for the Czechs).

Slavic people using those languages were known as Lechites. THE TERMINAL SONG LIK MAY BE LECH

[edit] See also

 

 

http://en.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla

 

THE INVENTOR OF THE 20TH CENTURY's TECHNOLOGIES BUT NO NOBEL PRIZE WINNER

 According to legend, Tesla was born precisely at midnight during an electrical storm, to a Serbian family in the village of Smiljan near Gospić, in theLika region of the Croatian Krajina in Military Frontier (part of the Austrian Empire), in the present-day Croatia.[11]

 

Nikola Tesla (Serbian Cyrillic: Никола Тесла) (10 July 1856  7 January 1943) was an inventor, physicist, mechanical engineer, and electrical engineer. Born in Smiljan, Croatian Krajina, Military Frontier, he was an ethnic Serb subject of the Austrian Empire and later became an American citizen.[2] Tesla is best known for his many revolutionary contributions to the discipline of electricity and magnetism in the late 19th and early 20th century. Tesla's patents and theoretical work formed the basis of modern alternating current electric power (AC) systems, including the polyphasepower distribution systems and the AC motor, with which he helped usher in the Second Industrial Revolution. Contemporary biographers of Tesla have deemed him "the man who invented the twentieth century"[3] and "the patron saint of modern electricity."[4]

After his demonstration of wireless communication (radio) in 1893 and after being the victor in the "War of Currents", he was widely respected as America's greatest electrical engineer.[5] Much of his early work pioneered modern electrical engineering and many of his discoveries were of groundbreaking importance. During this period, in the United States, Tesla's fame rivaled that of any other inventor or scientist in history or popular culture,[6] but due to his eccentric personality and unbelievable and sometimes bizarre claims about possible scientific and technological developments, Tesla was ultimately ostracized and regarded as a "mad scientist".[7][8] Never having put much focus on his finances, Tesla died impoverished at the age of 86.

The SI unit measuring magnetic flux density or magnetic induction (commonly known as the magnetic field B\,), the tesla, was named in his honour (at the Conférence Générale des Poids et Mesures, Paris, 1960).

Aside from his work on electromagnetism and engineering, Tesla is said to have contributed in varying degrees to the establishment of robotics,remote control, radar and computer science, and to the expansion of ballistics, nuclear physics[9], and theoretical physics. In 1943, the Supreme Court of the United States credited him as being the inventor of the radio.[10] Many of his achievements have been used, with some controversy, to support various pseudosciences, UFO theories, and early new age occultism. Tesla is honoured in Serbia and Croatia, as well as in Czech Republic(he was awarded the highest order of the White Lion by Czechoslovakia) and in unofficial ways in his adopted home, the United States.

 

 

 

http://en.wikipedia.org/wiki/Nicolaus_Copernicus

 

Maria_SKLADOWSKA.htm savait lire à l'âge de quatre ans

 

Stefan Wozniak a fait l'essentiel de son oeuvre étant très jeune.On lui doit l'inversion polonaise et les ordinateurs portables Apple

 

http://en.wikipedia.org/wiki/Klemens_Janicki mort à vingt sept ans. Fils de laboureur polonais devenu docteur à  Padoue et meilleur écrivain en latin de son temps

 

http://en.wikipedia.org/wiki/Gottfried_Leibniz a appris à lire  tout seul dès l' âge de six ans. Son père lui avait laissé trois cent livres écrits en grec, latin.il a appris à les lire tout seul

http://en.wikipedia.org/wiki/Evariste_Galois mort à vingt ans ses équations sont utilisées pour piloter les engins qui voyagent hors du champs magnétique terrestre

http://en.wikipedia.org/wiki/Baruch_Spinoza

http://en.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Descartes

http://books.google.com/books?vid=OCLC27375057&id=cQUZAAAAMAAJ&pg=PA1&lpg=PA1&dq=leibniz&as_brr=1#PPR17,M1

http://fr.wikipedia.org/wiki/Linguistique

Linguistique

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La linguistique est l'étude du langage humain. Elle se distingue donc en cela de la grammaire qui, elle, est la description du fonctionnement d'une langue donnée. La linguistique a pour but d'aller au delà de cela ; elle est apparue au XVIIe siècle et est due à un rejet de l'idée de l'époque selon laquelle la grammaire latine était la science du langage par excellence Un linguiste est donc une personne qui étudie les mécanismes du langage. Au sens large, la linguistique englobe toutes les sciences du langage. Dans un sens plus restreint, la linguistique s'oppose à la grammaire dite traditionnelle, en ce sens que celle-ci est normative (ou prescriptive) tandis que celle-là est descriptive. Alors que la grammaire juge les énoncés en termes d'adéquation à une norme donnée, la linguistique se contente de décrire. Le travail descriptif peut se faire selon trois axes principaux :

  • études en synchronie et diachronie : l'étude synchronique d'une langue s'intéresse seulement à cette langue à un moment donné de son histoire, à un seul de ses états. Par opposition, étudier une langue — ou une famille de langues — en diachronie revient à s'intéresser à son histoire et aux changements structurels qu'elle a subis ;
  • études théoriques et appliquées : la linguistique théorique étudie la création de structures permettant la description individuelle de langues ainsi que les théories tentant de cerner leurs constantes universelles ;
  • études contextuelles et indépendantes : bien que les termes désignant cette dichotomie ne soient pas clairement fixés, on peut la décrire comme suit : l'étude contextuelle s'intéresse aux interactions entre le langage et le monde, tandis que l'étude indépendante considère le langage pour lui-même, indépendamment de ses conditions extérieures.

Sommaire

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Domaines de la linguistique théorique [modifier]

La linguistique théorique est souvent divisée en domaines séparés et plus ou moins indépendants :

Linguistique synchronique et linguistique diachronique [modifier]

Alors que la linguistique synchronique s'attache à décrire les langues à un moment donné de leur histoire (le plus souvent le présent), la linguistique diachronique examine comment les langues évoluent au cours du temps — que ces changements concernent la prononciation (on parle alors dephonétique historique), le sens et l'histoire des mots (c'est là l'étymologie qui est concernée), voire plusieurs aspects (et l'on touche là à la linguistique) — parfois à travers plusieurs siècles. Le premier a avoir distingué ces deux types d'études, c'est Ferdinand de Saussure[1]. La linguistique historiquejouit d'une longue et riche histoire. C'est d'ailleurs de cette branche de la linguistique que sont nées les autres approches. Elle repose sur des postulats théoriques jugés solides (comme les lois phonétiques).

Une discipline comme la linguistique comparée repose principalement sur une optique historique.

Linguistique des langues [modifier]

La linguistique peut évidemment s'attacher à une langue en particulier (par exemple au français. On parle alors de linguistique française) ou à un groupe de langues (exemples : linguistique romane, linguistique germanique, linguistique finno-ougrienne, linguistique indo-européenne) ou à des langues géographiquement groupées (exemples : linguistique balkanique, linguistique africaine).

Linguistique appliquée [modifier]

Au contraire de la linguistique théorique, qui cherche à décrire, de manière générale, une langue donnée ou le langage humain, la linguistique appliquée se sert de ces recherches pour les appliquer à d'autres domaines comme la didactique des langues, la pathologie du langage, ladictionnairique, la synthèse ou la reconnaissance vocale (ces deux dernières approches étant ensuite utilisées en informatique pour fournir desinterfaces vocales, par exemple), l'intelligence artificielle.

Linguistique contextuelle [modifier]

La linguistique contextuelle est un domaine dans lequel la linguistique interagit avec d'autres disciplines. Elle étudie par exemple comment le langage interagit avec le reste du monde.

La sociolinguistique, la linguistique anthropologique et l'anthropologie linguistique sont des domaines ressortissant à la linguistique contextuelle dans lesquels on étudie les liens entre le langage et la société.

De même, l'analyse critique du discours est un point de rencontre entre la rhétorique, la philosophie et la linguistique. Il est ainsi possible de parler d'une philosophie du langage.

D'autre part, l'étude médicale du langage conduit à des approches psycholinguistique et neurolinguistique.

Enfin, appartiennent aussi à la linguistique contextuelle des domaines de recherches comme l'acquisition du langage, la linguistique évolutionniste, lalinguistique stratificationnelle ainsi que les sciences cognitives.

Locuteur individuel, communautés linguistiques et caractéristiques universelles du langage [modifier]

Plusieurs approches linguistiques sont possibles selon l'étendue de l'objet d'étude : certains analysent la langue d'un locuteur donné, d'autres des développements généraux sur la langue. On peut aussi étudier la langue d'une communauté bien précise, comme l'argot des banlieues ou bien rechercher les caractéristiques universelles du langage partagées par tous les hommes. C'est cette dernière approche, la linguistique générale, dont le pionnier a été Ferdinand de Saussure, qui a été retenue par Noam Chomsky et qui trouve des échos en psycholinguistique et dans les sciences cognitives. On peut penser que ces caractéristiques universelles sont susceptibles de révéler des éléments importants concernant la pensée humaine en général. Voir par exemple les fonctions du langage.

Démarche descriptive, démarche prescriptive [modifier]

La majorité des recherches accomplies en linguistique est purement descriptive : les linguistes cherchent à expliciter la nature du langage sans porter de jugements de valeur. Cependant, il existe un grand nombre de professionnels et d'amateurs qui ne se détachent pas d'un point de vue normatif, plus proche de celui de la grammaire. Alors que ceux-ci vont juger un énoncé selon qu'il respecte ou non le bon usage ou des règles, ceux qui suivent une démarche descriptive vont surtout chercher les origines de ces usages, des règles ou des erreurs qu'ils pourront simplement décrire comme des usages particuliers, voire comprendre que derrière une faute se cache un besoin de rationalisation de la langue.

Le site anglophone Language Log est une bonne illustration de cette opposition: il s'agit d'un blog tenu par des linguistes suivant une démarche descriptive, et expliquant clairement leurs prises de position.

Parole et écriture [modifier]

La plupart des travaux en linguistique, à l'heure actuelle, partent du principe que la langue parlée est première, et que la langue écrite n'en est qu'un reflet secondaire. Plusieurs raisons sont évoquées :

  • alors que la parole est universelle, l'écriture ne l'est pas, loin de là ;
  • l'apprentissage de la langue parlée est bien plus aisé et rapide que celui de la langue écrite ;
  • nombre de scientifiques des sciences cognitives pensent qu'il existe dans le cerveau un module du langage qu'il n'est possible de connaître qu'à travers la langue parlée.

Bien sûr, les linguistes reconnaissent que l'étude de la langue écrite est loin d'être inutile. L'étude de corpus écrits, à cet égard, est primordiale enlinguistique computationnelle, les corpus oraux étant difficiles à créer et à trouver. D'autre part, l'étude des systèmes d'écriture, ou grammatologie, ressortit pleinement à la linguistique. Enfin, les langues dotées d'une tradition écrite ancienne ne sont pas imperméables à des effets rétroactifs de l'écrit sur l'oral : le mot français legs, par exemple, dans lequel le g n'est pas étymologique, est le plus souvent prononcé /lεg/, par influence de la graphie, alors qu'à l'origine on disait /le/.

Domaines de recherches de la linguistique [modifier]

Phonétique, phonologie, diglossie, syntaxe, sémantique, pragmatique, étymologie, lexicologie, lexicographie, linguistique théorique, linguistique comparée, dialectologie, linguistique descriptive, typologie des langues, linguistique computationnelle, sémiotique, écriture, etc., sont parmi les domaines les plus courants.

Recherches interdisciplinaires [modifier]

Linguistique appliquée, linguistique cognitive, linguistique historique, orthographe, grammatologie, cryptanalyse, déchiffrage, sociolinguistique,anthropologie linguistique, linguistique anthropologique, analyse critique du discours, psycholinguistique, acquisition du langage, traitement automatique des langues, reconnaissance vocale, reconnaissance du locuteur, synthèse vocale et, plus généralement, traitement de la parole, sont de telles disciplines. Il est visible que la linguistique comprend de divers chantiers de recherche. La créolistique qui s’est donné la tache d’étudier les langues issues du colonialisme (exemples: papiamentu de curazao, la langue de cabo verde) devient de plus en plus importante.

Linguistes importants et écoles de pensée [modifier]

Parmi les premiers linguistes d'importance, il convient de compter Jacob Grimm, qui, en 1822, a compris et décrit la nature des modifications phonétiques touchant les consonnes dans les langues germaniques (modifications décrites dans la loi de Grimm). À sa suite, Karl Verner, inventeur de la loi portant son nom, August Schleicher, créateur de la Stammbaumtheorie et Johannes Schmidt, qui a développé la Wellentheorie (modèle par vagues) en 1872.

Ferdinand de Saussure peut être considéré comme le fondateur de la linguistique structuraliste (ce terme lui étant postérieur) et, pendant longtemps, comme le père de la linguistique moderne. Il s'est opposé au behaviorisme.

Dans les années 20, Jakobson fut l'un des chefs de file du formalisme russe et du Cercle linguistique de Prague (invention de la phonologie).

Gustave Guillaume, s'opposant à Saussure, étudie la langue d'un point de vue plus phénoménologique (Temps et verbe, 1929). De nombreux adeptes perpétuent ou redécouvrent aujourd'hui sa théorie.

Le modèle formel du langage développé par Noam Chomsky, ou grammaire générative et transformationnelle, s'est développé sous l'influence de son maître distributionnaliste, Zellig Harris, lequel suivait déjà fortement les préceptes distributionalistes de Leonard Bloomfield. Ce modèle s'est imposé depuis les années 1960 dans le domaine de la linguistique cognitive (compétence).

En France, les travaux du linguiste André Martinet, chef de file du fonctionnalisme, sont notables, ainsi que ceux de Gustave Guillaume, d'Antoine Culioli et de Lucien Tesnière.

La linguistique n'exclut pas forcément le grand public, pas plus que la sémiotique : témoins les ouvrages de vulgarisation d'Henriette Walter ou deUmberto Eco.

Sur les applications en communication, il faut noter les travaux très intéressants de Roman Jakobson, qui a établi un modèle linguistique de communication, composé de six fonctions associées à des agents de communication.


Pour plus de détails, consulter la rubrique Liste de linguistes.

Représentation écrite de la parole [modifier]

Il existe de nombreuses méthodes utilisées pour transcrire par écrit la parole, comme l'Alphabet phonétique international de l'Association phonétique internationale, ou API, méthode la plus commune actuellement. Celles-ci peuvent tendre à une extrême précision (on parle de transcription fine) et tenter de représenter les particularités phonétiques d'un locuteur précis, ou bien ne décrire que très généralement les oppositions fondamentales entre phonèmes d'une langue ; il s'agit là de transcription phonologique (ou phonétique large).

En France, d'autres systèmes existent, comme la notation de Bourciez, propre à la phonétique historique du français et, plus généralement, deslangues romanes. Chaque pays doté d'une tradition linguistique a pu développer ses systèmes de transcription. C'est pourtant l'API qui, aujourd'hui, prédomine dans la recherche.

Lorsqu'il n'est pas possible d'utiliser l'API pour des raisons techniques, il existe plusieurs méthodes permettant de transcrire l'API dans un système n'utilisant que des caractères présents dans tous les jeux de caractères, comme le SAMPA.

Consulter aussi cette liste de méthodes de transcription.

Vers une conception plus étroite de la linguistique [modifier]

Les termes de linguistique et linguiste ne sont pas toujours appliqués de manière aussi large que vu plus haut. Dans certains contextes, principalement universitaires, de meilleures définitions pourraient être, respectivement, « discipline que l'on étudie dans les départements relevant de la section 07 du Conseil National des Universités (CNU) » et « enseignant-chercheur d'un tel département ». La linguistique ainsi considérée ne renvoie pas à l'apprentissage des langues étrangères (à moins que cet apprentissage ne permette de créer des modèles formels de description des langues). Elle n'inclut pas non plus l'étude littéraire.

En règle générale, il convient de prendre conscience qu'un linguiste n'est pas forcément un polyglotte. En effet, la maîtrise complète d'une langue n'est pas une condition nécessaire (ni même suffisante) pour étudier et décrire certains aspects de son fonctionnement (c'est, par exemple, le cas en phonétique, où l'étude de la production des sons d'une langue n'implique pas la connaissance de sa syntaxe). Lorsqu'un linguiste s'intéresse à une langue dont il n'est pas particulièrement familier, il consulte généralement des locuteurs natifs, que l'on appelle des informateurs.

Notes et références de l'article [modifier]

  1.  Ferdinand de Saussure, Cours de linguistique générale, p. 138-140

Bibliographie [modifier]

  • Bautier, Élisabeth]], La langue des cités est-elle fréquentable ? éd.Lien social, Numéro 608, 7 février 2002.
  • Carvalho, Vera, 1980, Linguistique, Presses Universitaires France, (ISBN 2130363547).
  • Chomsky, Noam, 1975, Questions de sémantique, Paris, Seuil, (Traduit de l'américain).
  • Cortez. Yves, 2007, Le français ne vient pas du latin, Paris, Editions L'Harmattan.
  • Durrer, Sylvie, 1998, Introduction à la linguistique de Charles Bally, Delachaux & Niestlé, (ISBN 2603010883).
  • Feuillard, Colette, 2001, Le fonctionnalisme d'André Martinet, dans "La linguistique", Paris PUF, vol 37:1.
  • Fuchs, Catherine & Pierre Le Goffic, 1992, Les linguistiques contemporaines, Hachette, (ISBN 2-01-016909-3).
  • Garric, Nathalie, 2001, Introduction à La Linguistique, Hachette, (ISBN 2011454603).
  • Lerot, Jacques, 1993, Précis de linguistique générale, Minuit, (ISBN 2707314587).
  • Métellus, Jean, 1996, Voyage à travers le langage, Ortho-Edition Isbergues, (AISN 2906896497) [1]
  • Mahmoudian, Mortéza, 1981, La linguistique, Seghers, (ISBN 2221008367).
  • Maingueneau, 'Dominique, 1996, Aborder la linguistique, Seuil, (ISBN 2020230313).
  • Martinet, André, 1996, 'Eléments de linguistique générale, 4e édition, Armand Colin, (ISBN 2200265735).
  • Moeschler, Jacques & Antoine Auchlin, 2000, Introduction à la linguistique contemporaine, 2e édition, Armand Colin, (ISBN 2200251246).
  • Normier, Bernard, 2007, L'apport des technologies linguistiques au traitement et à la valorisation de l'information textuelle, Editions ADBS, (ISBN 9782843650925) [2]
  • Perrot, Jean, 1993, Linguistique, Presses Universitaires de France, (ISBN 2130427723).
  • Résano, Antoine (coord.), 2000, Linguistique hispanique. Nantes 1998, CRINI, Université de Nantes, 413 pages, (ISBN 2-86939-152-8).
  • Ferdinand de Saussure|Saussure, Ferdinand de]], 1916, 1995, Cours de linguistique générale, Payot, (ISBN 2228889423).
  • Siouffi, Gilles & Dan van Raemdonck, 1999, 100 fiches pour comprendre la linguistique, Breal, (ISBN 2842914538).
  • Soutet, Olivier, 1997, Linguistique, Presses Universitaires de France, (ISBN 2130471862).
  • Vendryes, Joseph, 1985, Le langage, Albin Michel, (ISBN 2226047441).
  • Wittmann, Henri, 1983, "Les réactions en chaîne en morphologie diachronique." Actes du Colloque de la Société internationale de linguistique fonctionnelle 10.285-92, Université Laval, 9-11 mai.[3]
  • Yaguello, Marina, 1981, Alice au pays du langage, Paris, Seuil, (ISBN 2.02.005795.6).

Articles connexes [modifier]

Liens externes [modifier]

Voir « linguistique » sur leWiktionnaire.

Aide à la la recherche

Manuel

Cours et conférences

Autres ressources

3 La reconstruction linguistique

Le travail de reconstruction historique s'appuie avant tout sur des ressemblances entre des langues dont on suppose, au départ, la parenté vraisemblable. Ces ressemblances doivent être soumises à un examen minutieux. Il ne faut pas oublier que des mots peuvent être accidentellement semblables d'une langue à l'autre, alors que d'autres mots très différents peuvent avoir la même origine.

Considérons le mot roi à partir de trois langues indo-européennes: le sanskrit, le latin et le grec.

sanskrit

latin

grec

radja

rex/regem

orego

La ressemblance entre radja en sanskrit et rex/regem en latin n'est pas fortuite: les deux mots correspondent par la forme et le sens. Le rapprochement avec le grec est différent. À la forme orego, le grec oppose comme sens «étendre en ligne droite»; au sens de «roi», correspondent les formes basileus et wanaks. De même, on serait tenté de rapprocher le mot sanskrit radjatam(argent), le mot radja (roi) et le mot latin rex/regis (roi). On serait alors victime d'une homonymie: il faut plutôt rapprocher le motradjatam du mot latin argentum et du grec arguros qui signifient tous les deux «argent». On voit donc qu'il importe non seulement de tenir compte de la forme lorsqu'on établit des comparaisons, mais aussi du sens. Lorsqu'il y a conjonction des deux, les risques d'erreur sont moins grands. De plus, en comparant, il faut aussi reconstruire des règles d'évolution.

Ce genre d'étude implique que les comparatistes ont dégagé des

règles de changement, c'est-à-dire des lois d'évolution. Le nombre de cas qui les vérifie d'une langue à l'autre garantit leur validité et leur pertinence. Comment dégage-t-on ces lois? Par la comparaison de mots dans diverses langues parallèles. La comparaison du latin pater, du grec pater, du sanskrit pitar et de l'anglais father montre bien que, dans toutes ces langues, le [r] final représente un [*r] indo-européen. Si, en sanskrit, en latin et en grec, le [p] et le [t] correspondent, il n'en est pas de même en anglais où [f] correspond à [p] (father - pater) et [th] à [t]. Cette constatation a donné à penser que les phonèmes de l'indo-européen commun [*p] et [*t] se sont maintenus en grec, en latin et en sanskrit, mais qu'ils sont passés respectivement à [f] et [th] dans une langue germanique comme l'anglais. Une fois que cette hypothèse a été vérifiée dans des quantités de mots, non seulement en anglais mais dans les autres langues germaniques (allemand, néerlandais, suédois, norvégien, etc.), on est en droit de formuler une loi d'évolution propre aux langues germaniques.

Les méthodes de la linguistique comparée, bien que fort complexes et d'application ardue, permettent donc de reconstruire une langue originelle et de déterminer avec précision le degré de parenté entre des langues. Plus encore, il est possible de dater certains événements avec presque autant de précision qu'on peut le faire avec la méthode du «carbone 14», grâce à des méthodes fournies par la glottochronologie; de même qu'on peut découvrir une partie des institutions des peuples anciens dont on ne possède aucun vestige, on peut découvrir leurs langues.

4 Les institutions indo-européennes

Il n'y a pas seulement dans le domaine de la phonétique ou de la phonologie où l'étude des langues anciennes est utile. Ainsi, la comparaison du vocabulaire indo-européen a également permis de découvrir une partie des institutions des Indo-Européens: économie, parenté, société, pouvoir, droit, religion, etc. Nous allons nous en tenir à un seul exemple à partir du grec et du latin, mais il permettra de comprendre la méthode utilisée.

Langue

«naître»

«connaître

«genou»

grec

gignomai

gignosco

gonu

latin

(g)nascor

(g)nosco

genu

Ces mots ont visiblement une racine commune qui apparaît tantôt sous la forme gon, tantôt sous la forme gen, tantôt sous la forme gn. Ils ont donc évidemment la même origine. Toutefois, comment concilier les sens apparemment disparates qu'ils comportent? Comment croire à une relation entre la «naissance», la «connaissance» et le «genou»? Or, il y a effectivement un lien entre ces trois réalités. Pour s'en convaincre, on lira les deux récits qui suivent. Il s'agit de récits littéraires d'origine hittite dont l'épisode de la naissance est développé en des termes assez semblables:

La femme d'Appu, enfanta un garçon. La sage-femme souleva le garçon, et le déposa sur les genoux d'Appu. Appu se mit à cajoler l'enfant, et à le dorloter. Il lui donna le meilleur nom: «Méchant». Puisque les dieux [...] ont pris la mauvaise route, et puisqu'ils ont gardé la mauvaise route, que son nom soit «Méchant».

Elle le mirent au monde, les sages-femmes, ce fils de Kumarbi. Les Parques et les augustes déesses le soulevèrent, sur les genoux de Kumarbi elles le déposèrent. Kumarbi se mit à cajoler le garçon, à le dorloter, il se mit à lui donner le meilleur nom. Kumarbi se dit à part lui: «Quel nom vais-je lui mettre, à ce fils que les Parques et les augustes déesses m'ont donné? Il a bondi hors du corps comme une flèche. Qu'il aille et que son nom soit Ullikummi (1).»

Ces récits nous apprennent que, chez les Indo-Européens, la naissance biologique devait être suivie d'une reconnaissance juridique, faute de laquelle l'enfant n'aurait pas été intégré au clan et, par voie de conséquence, n'aurait pu survivre. Mais comment le père reconnaissait-il son enfant? En le posant sur ses genoux! Le genoux est ainsi considéré comme le symbole de l'engendrement juridique. On peut sourire devant une telle conclusion, mais n'oublions pas que l'on peut faire de tels rapprochements à partir de centaines de cas de ce genre. Le nombre de ces exemples sert ainsi à valider ce type de conclusion.