C’est en 1641 que Anton fréquenta le
Prince Royal polonais Jan II Kazimierz Waza,
fils de Zygmunt Roi de Pologne
(20/06/1566-1632)(1587-1632)-et
frère du Roi de Pologne Wladyslaw (1595-1648) (1632-1648) à qui il a succédé ,come Roi élu de
Pologne en 1648. Jan II Kazimierz Waza Erikson avait
été emprisonné pendant deux ans en France alors qu’il la traversait pour se rendre en l’Espagne des
Habsbourg. La guerre de trente ans avait débuté
en 1618 et a duré jusqu’en 1648. Jan II Kazimierz Waza avait été emprisonné par Louis XIII en 1938
pour avoir combattu activement la France. Il a été libéré en 1640. En 1648 il est élu Roi en succédant à
son frère Wladislaw.Il sera roi pendant vingt ans (1648-1668) qu’il passera à se battre contre de nombreux ennemis sous tous
les azimuts puis renoncera au trône et viendra s’installer en France sous le
nom de . Wladislaw et Kazimierz ont eu l’un après
l’autre la même épouse française Marie Louise de Gonzague Nevers.. Anton vivait à Buckingham et l’épouse
du Roi d’Angleterre était une sœur de
Louis XIII ; Anton a pu avoir servi comme diplomate, comme le faisait Rubens.Ou
bien il a peut-être pu d’une manière ou d’une
autre avoir eu des liens discrets avec ces familles qu’il fréquentait. Il a vécu à Gènes où il a peint
.C’est à Gènes que vivait Molina, un jésuite chilien exilé, qui était un abbé
et un scientifique précurseur de
Darwin, et connaisseur de langues.Ce n’est pas par hasard qu’il a écrit le nom du peintre sous l’orthographe
polonaise. Ce
qui m’intéresse dans ce qui est écrit dans le rapport de voyage de Bahamonte,
est que le nom de VanDyck,
soit écrit avec l’orthographe polonaise. Comme il a vécu à Génes pendant sa
jeunesse,où il a peint pour la famille Balbi il a pu avoir vécu
avec son nom écrit à la mode polonaise La
Savoie était sous la régence d’une autre sœur de Louis XIII . Le père de Anton s’appelait Franchois et comme son grand père, il était
un riche marchand vivant à Anvers.. Sa mère était peintre et venait d’une
famille de peintres. Cest à Anvers que Wladislas à fait son
éducation militaire à l’occidentale pendant deux ans. |
||||||||||||||||
Marie Louise de Mantoue, également appelée Marie
Louise de Gonzague-Nevers, est une princesse française de
la maison de Gonzague, née à Paris (France) le18 août 1611 et morte à Varsovie (Pologne) le 10 mai 1667,
à l'âge de 55 ans. Elle était la fille de Charles III de
Nevers (futur
Charles Ier duc de Mantoue)
et de Catherine de Mayenne. Elle fut, pendant une
période, la fiancée de Cinq-Mars qui
voulut l'épouser maisRichelieu déclara « qu'il ne croyait
pas que la princesse Marie eût tellement oublié sa naissance qu'elle voulût
s'abaisser à si petit compagnon ». Elle épousa
successivement les rois de Pologne Ladislas IV Vasa en 1646 et son frèreJean II Casimir Vasa en 1649. C’est l’abbé
jésuite chilien Molina qui était un
linguiste et avait écrit le rapport de voyage de Bahamonte qui écrit le nom
de Van Dyck à la
polonaise.WANCLIK a fréquenté
les enfants d’Henri IV de France., en France, en Angleterre, en Savoie
et des descendants de la Maison Gonzague et des descendants du Saint Empire. Van Dyck ou
WANCLIK Très tôt Van Dyck
Antoine (1599-1641) s’annonça comme un jeune prodige. Il naquit à Anvers le 2
mars 1599. Il était le septième enfant de Franchois, un florissant marchand de drap et de soie.
Le père de Franchois avait été peintre, et la famille de son épouse comptait
plusieurs artistes. La peinture, à Anvers, était à la fois un
art très développé et un commerce important. Les retables et autres oeuvres
religieuses étaient des produits d’exportation qui se
vendaient dans tous les Pays-Bas, en Allemagne, et même en Europe méridionale
et dans le Nouveau Monde. La production de tableaux occupait un grand
nombre d’Anversois - peintres bien entendu, mais aussi fabricants de
panneaux, de cadres et de toiles, fournisseurs de
pigments et de pinceaux. La renommée de Quinten Metsys (1465-1530), vénéré
comme le fondateur de l’école
anversoise, s’était répandue
dans l’Ancien comme dans le Nouveau Monde. On payait à gros prix les oeuvres
des peintres connus. Rubens comptait
parmi les bourgeois les plus riches d’Anvers, menant une vie de prince.
En dépit de son style baroque,
fortement italianisant, Van Dyck était profondément conscient des tendances
artistiques à l’oeuvre dans les Pays-Bas du Sud. La typologie, la
structure des compositions et l’iconographie des nombreux retables issus de
son atelier entre 1627 et 1632 ne laissent aucun doute à
ce sujet. Van Dyck incorpora dans ses oeuvres un grand nombre de schèmes de
composition de Rubens, témoignant ainsi de la profonde
influence et de l’étroite collaboration qui avait existé entre les deux
artistes pendant la jeunesse de Van Dyck. Mais il semble aussi, pour
certaines de ses compositions, s’être inspiré de Rubens à la demande expresse
de ses clients. Les Crucifixions qu’il réalisa pour les
franciscains de Malines et de Lille remontent manifestement au « Coup de
lance » de Rubens, peint vers 1620 pour les franciscains
d’Anvers. A leurs yeux, cette oeuvre saisissante, avec sa croix placée en
diagonale qui anime et transforme l’espace, passait
certainement pour une innovation stylistique de premier plan, dont ils
tenaient à faire profiter les autres églises de leur ordre. La fascination
exercée sur les frères mineurs et les capucins par ce type de Crucifixion
ressort notamment d’une composition conçue par Rubens et copiée
à maintes reprises, avec un saint François assis ou debout au pied d’une
croix en diagonale. La Crucifixion (1630) de Malines est très proche du tableau de
Rubens, auquel Van Dyck a non seulement emprunté la figure du Christ crucifié et les attitudes poignantes et contournées des deux
larrons, mais aussi la Vierge Marie, stoïque dans sa résignation, et la Marie Madeleine agenouillée. Le peintre a inversé les
personnages principaux, comme pour personnaliser son oeuvre malgré la place qu’y tiennent les emprunts. Mais c’est dans le rendu intense
de la souffrance du Christ que Van Dyck donne toute la mesure de son originalité. Contrairement au Christ de Rubens, dont le corps
athlétique évoque une âme héroïque, celui de Van Dyck, faible, fluet et sensuel, donne une
impression de vulnérabilité. L’étreinte de Marie Madeleine n’est pas moins
éloquente: dans le tableau de Rubens, elle exprime son
chagrin avec force en tendant les bras; chez Van Dyck, par contre, son
désarroi est intériorisé. De même, Van Dyck évoque la douleur de la Vierge Marie avec une plus grande profondeur et sensibilité que Rubens.
Les
compositions religieuses de Van Dyck ne se pliaient pas toujours aux
exigences iconographiques spécifiques d’un ordre religieux. Ainsi, les
deux saints franciscains peints par Van Dyck pour l’église des capucins de
Bruxelles sont manifestement inspirés des saints Ignace et
François-Xavier de Rubens, placés de part et d’autre du maître-autel de
l’église des jésuites de Bruxelles. Non seulement les saints sont présentés
dans les mêmes attitudes extatiques, mais leurs regards s’expliquent, chez
Van Dyck comme chez Rubens, par le fait que les deux
tableaux étaient destinés à flanquer le retable du maître-autel. Dans
l’église des jésuites, les deux saints contemplent une Adoration des Mages
d’Abraham Bloemaert, tandis que, dans l’église des capucins, leurs yeux se
dirigent sur La Lamentation avec saint François, un thème imaginé tout exprès pour l’ordre
franciscain. La présence des deux saints de Rubens dans la principale église
bruxelloise récemment
construite dans le style de la Contre-Réforme peut avoir montré la voie aux
capucins et à Van Dyck. Comme portraitiste, Van Dyck était déjà très demandé dans les
années 1627-1632. Vers 1620, alors qu’il vivait toujours à Anvers, il avait élaboré un nouveau style de portrait, basé sur l’art
vénitien du XVI° siècle, qu’il développa au cours des longues années qu’il passa en Italie et qui suscita l’enthousiasme dès son
retour dans sa ville natale, en 1627. Une nonchalance calculée, l’élégance, la grâce et le charme: autant d’éléments au moins aussi
importants que les costumes des modèles, où la mode française, la couleur et la frivolité remplaçaient la
sobriété autrefois imposée par l’étiquette espagnole. Ce style dut son succès
en partie à l’aspiration des citoyens fortunés à mener une vie luxueuse, d’une
distinction aristocratique. Cette aspiration se manifestait également par le goût de collectionner
les oeuvres d’art et autres objets précieux. Van Dyck concrétisa sa passion pour
l’art vénitien, et spécialement pour l’oeuvre de Titien, en réunissant une
vaste collection de tableaux de ce maître, que Jean Puget de la
Serre, secrétaire de Marie de Médicis, commenta avec admiration en 1631.
Toutefois, Van Dyck fut souvent contraint de
s’adapter aux goûts traditionnels de ses clients des Pays-Bas. Malgré sa
quête d’élégance et de noblesse, la bourgeoisie gardait une
nette préférence pour les portraits à mi-corps ou aux genoux,
caractéristiques du style local. Dans le genre du portrait votif, Van
Dyck réalisa une synthèse de la tradition flamande et du style vénitien de
Titien et de Véronèse. A l’origine, les imposants portraits en
pied étaient réservés aux nobles. Ils n’échappaient pas pour autant à
certaines concessions aux types de composition antérieurs. En
1628, par exemple, quand il peignit l’infante Isabelle, Van Dyck adopta un
ancien prototype rubénien. Ce portrait lui rapporta une
chaîne d’or d’une valeur de 750 florins et le droit de se dire « Schilder van
Heure Hoocheyd» (peintre de Son Altesse). Ce titre
honorifique lui valut d’autres commandes princières. Par l’intermédiaire de
la cour de Bruxelles, il entra en contact avec la reine de France,
Marie de Médicis, exilée aux Pays-Bas avec sa suite. Dans le portrait qu’il
fit d’elle en 1631, il la plaça sur un trône, avec
une vue d’Anvers à l’arrière-plan. Inspirée des portraits féminins de la
période génoise, cette présentation était néanmoins en accord avec
l’étiquette rigide de la cour habsbourgeoise à Bruxelles. La cour de La Haye
fut la première à passer commande à Van Dyck
lors de son retour d’Italie. A côté de quelques peintures d’histoire au
caractère bucolique vénitien, Van Dyck peignit aussi des
portraits à La Haye. Ceux, à mi-corps, du stathouder de Hollande,
Frédéric-Henri, et de son épouse Amalia van Solms, sobres et conventionnels,
sont proches des portraits de Mierevelt et de Van Ravesteyns. D’autres
commanditaires se laissèrent séduire par la grâce et
l’élégance du style de Van Dyck, qui répondait au raffinement cultivé par
certains membres de la cour, tels en particulier Constantijn Huygens,
secrétaire de Frédéric-Henri, et le souverain en exil Frédéric de Bohême,
électeur palatin, et sa famille. Dès avant 1621, Van Dyck avait reçu des commandes de portraits
de la part d’autres artistes, ce qui révélait, chez les plus éminents et les plus riches des peintres flamands, l’émancipation de la
conscience artistique. Mais ce fut surtout dans son « Iconographie », un ensemble de plusieurs dizaines de gravures représentant des
contemporains célèbres, parmi lesquels de nombreux artistes – que Van Dyck
immortalisa ses confrères. Un des aspects les plus frappants de ces portraits
est que les artistes y sont distingués par leurs gestes et leurs
expressions plutôt que par les instruments de leur art, comme dans les
portraits d’artistes traditionnels. En fait, ces gravures ont contribué dans une plus grande mesure que les
peintures de Van Dyck à assurer l’influence de l’artiste sur le portrait dans les Pays-Bas du Sud et au-delà.
Durant son
bref séjour dans les Pays-Bas méridionaux en 1634-1635, Van Dyck peignit de nombreux
portraits. Autrement que pendant la période 1627-1632,
un nombre important de ceux-ci étaient des portraits de nobles en grand
format. La gloire qu’il avait acquise comme portraitiste du roi
d’Angleterre l’avait manifestement précédé. Par ailleurs, il avait été nommé
doyen honoraire de la guilde anversoise de Saint-Luc, honneur dont seul Rubens avait bénéficié avant lui.
Sa réputation lui permettait d’exiger des prix élevés pour son travail;
durant les années 1634-1635, pendant
lesquelles il peignit principalement des portraits, il était effectivement
considéré comme un peintre cher. La cour de Bruxelles profita de la
présence de Van Dyck aux Pays-Bas pour lui commander d’imposants portraits,
où il s’exprima avec autant de brio que dans ses meilleures œuvres
anglaises. Vers 1640, Van Dyck
se sentit frustré par un manque de commandes intéressantes à Londres. Comme
la situation politique se dégradait, il envisagea de rentrer aux Pays-Bas pour de
bon. Lorsque Rubens mourut en 1640, on l’appela depuis Anvers pour qu’il
reprenne la direction de l’atelier du
maître. Alors qu’il se préparait à déménager, il apprit que Louis XIII était
sur le point d’adjuger un grand projet de décoration des principales galeries
du Louvre. C’était enfin la grande commande qu’il était le seul, selon sa
conviction, à pouvoir mener à bien. Rubens, par son cycle de peintures
consacrées à la vie de Marie de Médicis, avait créé un précédent en tant
qu’artiste flamand travaillant pour la couronne de France. Van Dyck se rendit à
Paris en janvier 1641, mais en mai il était de retour à Londres, où il
peignit le double portrait de la princesse Mary et de Guillaume, prince d’Orange, à l’occasion de leur
mariage. En octobre, nous le retrouvons à Anvers, et en novembre à Paris, où
il apprit une décevante nouvelle: le projet du Louvre
était attribué à Nicolas Poussin et à Simon Vouet. Des contemporains font
allusion à sa santé défaillante durant ces mois de travail intensif et de
déplacements. A son retour à Londres, son état était critique. Le roi promit
à son médecin personnel une somme de s’il réussissait à guérir le peintre.
Le 9 décembre 1641, il
mourut à l’âge de quarante-deux ans. II fut enterré à la cathédrale
Saint-Paul. Le roi fit ériger un monument commémoratif sur la
tombe de son peintre favori. Malgré les richesses qu’il avait acquises, il
laissa peu de biens, tant il avait dépensé en menant une vie somptueuse, plus digne d’un prince
que d’un peintre. |
||||||||||||||||
http://www.balbifamily.com/index_main.htm living in Genova and the place where the jesuit Molina was exiled |
||||||||||||||||
|
||||||||||||||||
|
||||||||||||||||
|
||||||||||||||||
ANTONI WANCLIK a travaillé pour Charles 1er d’Angleterre , époux d’une sœur de Louis XIII, puis est parti travailler chez Madame Royale, Régente du Duché de Savoie et autre sœur de Louis XIII et belle sœur de Thomas François de Savoie.
|
||||||||||||||||
Jan
II Kazimierz Waza
[edytuj]
Jan II Kazimierz Waza |
||||||||||||
|
||||||||||||
|
||||||||||||
|
Spis
treści
|
§
Po
wyjechaniu do Francji król przyjął tam nazwisko Snopkowski (vasa to po szwedzku snopek) [4].
|
|||||||||
2. ↑ Historia klasztoru.
www.opole.franciszkanie.pl. [dostęp 10 kwietnia 2009].
4. ↑ Źródło: Podręcznik
Moja Historia do klasy 6 część 1 wydawnictwo nowa era
Tadeusz Wasilewski: Jan
Kazimierz. Warszawa: 1985. ISBN 83-00-00962-0.
§
Akt elekcji Jana Kazimierza na króla polskiego z dnia 20
XI 1648 roku
§
Obraz z około 1665-1667 roku przedstawiający
Jana II Kazimierza, autor nieznany
Antoni Wanclik or Sir Anthony van Dyck
?
Il doit y avoir des informations privées . qui doivent être une vrai lampe d'ALADIN capable d'éclairer biens des faits historiques.) http://en.wikipedia.org/wiki/Władysław_IV_Vasa http://en.wikipedia.org/wiki/Anna_of_Austria_(1573–1598) http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_II_of_Austria http://en.wikipedia.org/wiki/Sigismund_III_Vasa http://en.wikipedia.org/wiki/John_III_of_Sweden http://en.wikipedia.org/wiki/Catherine_Jagellonica_of_Poland |
nouveaux cartables au PORTUGAL
Il
fut canonisé par l'Église d'Angleterre en 1660.
Aller
à :Navigation,rechercher
Tous
les portraitistes qui suivirent, surtout les anglais (Gainsborough par exemple). |
|
Sommaire
|
À
sa mort, Antoon van Dyck fut inhumé à la cathédrale Saint-Paul.
http://culture-et-debats.over-blog.com/article-1077494.html CINQ MARS |