WANCLIK-TADE

 

 

C’est en 1641 que Anton fréquenta le Prince Royal polonais Jan II Kazimierz Waza,  fils  de Zygmunt Roi de Pologne (20/06/1566-1632)(1587-1632)-et frère du Roi de Pologne Wladyslaw (1595-1648) (1632-1648) à qui il a succédé ,come Roi élu de Pologne en 1648.

Jan II Kazimierz Waza Erikson avait été emprisonné pendant deux ans en France alors qu’il la traversait 

pour se rendre en l’Espagne des Habsbourg.

La guerre de trente ans avait débuté en 1618 et a duré jusqu’en 1648.

Jan II Kazimierz Waza  avait été emprisonné par Louis XIII en 1938 pour avoir combattu activement

la France.

Il a été libéré en 1640.

En 1648 il est élu Roi en succédant à son frère Wladislaw.Il sera roi pendant vingt ans (1648-1668) qu’il

passera à se  battre contre de nombreux ennemis sous tous les azimuts puis renoncera au trône et viendra s’installer en France sous le nom de .

 Wladislaw et Kazimierz ont eu l’un après l’autre la même épouse française Marie Louise de Gonzague

Nevers..

Anton vivait à Buckingham et l’épouse du Roi  d’Angleterre était une sœur de Louis XIII ;

Anton a pu avoir servi  comme diplomate, comme le faisait Rubens.Ou bien il a peut-être pu d’une manière

ou d’une autre avoir eu des liens discrets avec ces familles qu’il fréquentait.

Il a vécu à Gènes où il a peint .C’est à Gènes que vivait Molina, un jésuite chilien exilé, qui était un abbé

et un scientifique précurseur de Darwin, et connaisseur de langues.Ce n’est pas par hasard qu’il a écrit le

nom du peintre sous l’orthographe polonaise.

Ce qui m’intéresse dans ce qui est écrit dans le rapport de voyage de Bahamonte, est que le nom de

VanDyck, soit écrit avec l’orthographe polonaise.

Comme il a vécu à Génes pendant sa jeunesse,où il a peint pour la famille Balbi il a pu avoir vécu avec son

nom écrit à la mode polonaise La Savoie était sous la régence d’une autre sœur de Louis XIII . 

Le père de Anton s’appelait Franchois et comme son grand père, il était un riche marchand vivant à Anvers..

Sa mère était peintre et venait d’une famille de peintres.

Cest à Anvers que Wladislas à fait son éducation militaire à l’occidentale pendant deux ans.

Marie Louise de Mantoue, également appelée Marie Louise de Gonzague-Nevers, est une princesse française de la maison de Gonzague, née à Paris (France) le18 août 1611 et morte à Varsovie (Pologne) le 10 mai 1667, à l'âge de 55 ans. Elle était la fille de Charles III de Nevers (futur Charles Ier duc de Mantoue) et de Catherine de Mayenne.

Elle fut, pendant une période, la fiancée de Cinq-Mars qui voulut l'épouser maisRichelieu déclara « qu'il ne croyait pas que la princesse Marie eût tellement oublié sa naissance qu'elle voulût s'abaisser à si petit compagnon ».

Elle épousa successivement les rois de Pologne Ladislas IV Vasa en 1646 et son frèreJean II Casimir Vasa en 1649.

 

 

C’est l’abbé jésuite chilien Molina  qui était un linguiste et avait écrit le rapport de voyage de Bahamonte qui écrit le nom de Van Dyck à la polonaise.WANCLIK  a fréquenté les enfants d’Henri IV de France., en France, en Angleterre, en Savoie et des descendants de la Maison Gonzague et des descendants du Saint Empire.

 

Van Dyck ou WANCLIK

Très tôt Van Dyck Antoine (1599-1641) s’annonça comme un jeune prodige. Il naquit à Anvers le 2 mars 1599. Il était le septième enfant de

Franchois, un florissant marchand de drap et de soie. Le père de Franchois avait été peintre, et la famille de son épouse comptait plusieurs artistes.

 La peinture, à Anvers, était à la fois un art très développé et un commerce important. Les retables et autres oeuvres religieuses étaient des produits

d’exportation qui se vendaient dans tous les Pays-Bas, en Allemagne, et même en Europe méridionale et dans le Nouveau Monde.

 La production de tableaux occupait un grand nombre d’Anversois - peintres bien entendu, mais aussi fabricants de panneaux, de cadres et de toiles,

fournisseurs de pigments et de pinceaux. La renommée de Quinten Metsys (1465-1530), vénéré comme le fondateur

de l’école anversoise,

s’était répandue dans l’Ancien comme dans le Nouveau Monde. On payait à gros prix les oeuvres des peintres connus.

Rubens comptait parmi les bourgeois les plus riches d’Anvers, menant une vie de prince.

 
Les Enfants Balbi 
1627

En dépit de son style baroque, fortement italianisant, Van Dyck était profondément conscient des tendances artistiques à l’oeuvre dans

 les Pays-Bas du Sud. La typologie, la structure des compositions et l’iconographie des nombreux retables issus de son atelier entre

1627 et 1632 ne laissent aucun doute à ce sujet. Van Dyck incorpora dans ses oeuvres un grand nombre de schèmes de composition de

Rubens, témoignant ainsi de la profonde influence et de l’étroite collaboration qui avait existé entre les deux artistes pendant la jeunesse

de Van Dyck. Mais il semble aussi, pour certaines de ses compositions, s’être inspiré de Rubens à la demande expresse de ses clients.

 Les Crucifixions qu’il réalisa pour les franciscains de Malines et de Lille remontent manifestement au « Coup de lance » de Rubens,

peint vers 1620 pour les franciscains d’Anvers. A leurs yeux, cette oeuvre saisissante, avec sa croix placée en diagonale qui anime et

transforme l’espace, passait certainement pour une innovation stylistique de premier plan, dont ils tenaient à faire profiter les autres

églises de leur ordre. La fascination exercée sur les frères mineurs et les capucins par ce type de Crucifixion ressort notamment d’une

composition conçue par Rubens et copiée à maintes reprises, avec un saint François assis ou debout au pied d’une croix en diagonale.

La Crucifixion (1630) de Malines est très proche du tableau de Rubens, auquel Van Dyck a non seulement emprunté la figure du Christ

crucifié et les attitudes poignantes et contournées des deux larrons, mais aussi la Vierge Marie, stoïque dans sa résignation, et la

Marie Madeleine agenouillée. Le peintre a inversé les personnages principaux, comme pour personnaliser son oeuvre malgré la place

qu’y tiennent les emprunts. Mais c’est dans le rendu intense de la souffrance du Christ que Van Dyck donne toute la mesure de son

originalité. Contrairement au Christ de Rubens, dont le corps athlétique évoque une âme héroïque, celui de Van Dyck, faible, fluet et

 sensuel, donne une impression de vulnérabilité. L’étreinte de Marie Madeleine n’est pas moins éloquente: dans le tableau de Rubens,

 elle exprime son chagrin avec force en tendant les bras; chez Van Dyck, par contre, son désarroi est intériorisé. De même,

Van Dyck évoque la douleur de la Vierge Marie avec une plus grande profondeur et sensibilité que Rubens.


 
Charles 1° à cheval avec Monsieur de Saint Antoine 
1633

Les compositions religieuses de Van Dyck ne se pliaient pas toujours aux exigences iconographiques spécifiques d’un ordre religieux.

Ainsi, les deux saints franciscains peints par Van Dyck pour l’église des capucins de Bruxelles sont manifestement inspirés des saints Ignace

et François-Xavier de Rubens, placés de part et d’autre du maître-autel de l’église des jésuites de Bruxelles. Non seulement les saints sont

présentés dans les mêmes attitudes extatiques, mais leurs regards s’expliquent, chez Van Dyck comme chez Rubens, par le fait que les

deux tableaux étaient destinés à flanquer le retable du maître-autel. Dans l’église des jésuites, les deux saints contemplent une Adoration

des Mages d’Abraham Bloemaert, tandis que, dans l’église des capucins, leurs yeux se dirigent sur La Lamentation avec saint François,

 un thème imaginé tout exprès pour l’ordre franciscain. La présence des deux saints de Rubens dans la principale église bruxelloise

récemment construite dans le style de la Contre-Réforme peut avoir montré la voie aux capucins et à Van Dyck.

Comme portraitiste, Van Dyck était déjà très demandé dans les années 1627-1632. Vers 1620, alors qu’il vivait toujours à Anvers,

il avait élaboré un nouveau style de portrait, basé sur l’art vénitien du XVI° siècle, qu’il développa au cours des longues années

qu’il passa en Italie et qui suscita l’enthousiasme dès son retour dans sa ville natale, en 1627. Une nonchalance calculée, l’élégance,

la grâce et le charme: autant d’éléments au moins aussi importants que les costumes des modèles, où la mode française, la couleur

et la frivolité remplaçaient la sobriété autrefois imposée par l’étiquette espagnole. Ce style dut son succès en partie à l’aspiration

des citoyens fortunés à mener une vie luxueuse, d’une distinction aristocratique. Cette aspiration se manifestait également par le

 goût de collectionner les oeuvres d’art et autres objets précieux.

Van Dyck concrétisa sa passion pour l’art vénitien, et spécialement pour l’oeuvre de Titien, en réunissant une vaste collection de

 tableaux de ce maître, que Jean Puget de la Serre, secrétaire de Marie de Médicis, commenta avec admiration en 1631. Toutefois,

Van Dyck fut souvent contraint de s’adapter aux goûts traditionnels de ses clients des Pays-Bas. Malgré sa quête d’élégance et de

noblesse, la bourgeoisie gardait une nette préférence pour les portraits à mi-corps ou aux genoux, caractéristiques du style local.

Dans le genre du portrait votif, Van Dyck réalisa une synthèse de la tradition flamande et du style vénitien de Titien et de Véronèse.

A l’origine, les imposants portraits en pied étaient réservés aux nobles. Ils n’échappaient pas pour autant à certaines concessions

aux types de composition antérieurs. En 1628, par exemple, quand il peignit l’infante Isabelle, Van Dyck adopta un ancien prototype

 rubénien. Ce portrait lui rapporta une chaîne d’or d’une valeur de 750 florins et le droit de se dire « Schilder van Heure Hoocheyd»

(peintre de Son Altesse). Ce titre honorifique lui valut d’autres commandes princières. Par l’intermédiaire de la cour de Bruxelles,

 il entra en contact avec la reine de France, Marie de Médicis, exilée aux Pays-Bas avec sa suite. Dans le portrait qu’il fit d’elle en

1631, il la plaça sur un trône, avec une vue d’Anvers à l’arrière-plan. Inspirée des portraits féminins de la période génoise, cette

 présentation était néanmoins en accord avec l’étiquette rigide de la cour habsbourgeoise à Bruxelles. La cour de La Haye fut la

première à passer commande à Van Dyck lors de son retour d’Italie. A côté de quelques peintures d’histoire au caractère bucolique

vénitien, Van Dyck peignit aussi des portraits à La Haye. Ceux, à mi-corps, du stathouder de Hollande, Frédéric-Henri, et de son épouse

 Amalia van Solms, sobres et conventionnels, sont proches des portraits de Mierevelt et de Van Ravesteyns. D’autres commanditaires

se laissèrent séduire par la grâce et l’élégance du style de Van Dyck, qui répondait au raffinement cultivé par certains membres de la cour,

 tels en particulier Constantijn Huygens, secrétaire de Frédéric-Henri, et le souverain en exil Frédéric de Bohême, électeur palatin, et sa famille.

Dès avant 1621, Van Dyck avait reçu des commandes de portraits de la part d’autres artistes, ce qui révélait, chez les plus éminents et

les plus riches des peintres flamands, l’émancipation de la conscience artistique. Mais ce fut surtout dans son « Iconographie »,

un ensemble de plusieurs dizaines de gravures représentant des contemporains célèbres, parmi lesquels de nombreux artistes –

 que Van Dyck immortalisa ses confrères. Un des aspects les plus frappants de ces portraits est que les artistes y sont distingués par

 leurs gestes et leurs expressions plutôt que par les instruments de leur art, comme dans les portraits d’artistes traditionnels. En fait,

ces gravures ont contribué dans une plus grande mesure que les peintures de Van Dyck à assurer l’influence de l’artiste sur le portrait

dans les Pays-Bas du Sud et au-delà.


 
Autoportrait au tournesol 
1633

Durant son bref séjour dans les Pays-Bas méridionaux en 1634-1635, Van Dyck peignit de nombreux portraits. Autrement que pendant la période

1627-1632, un nombre important de ceux-ci étaient des portraits de nobles en grand format. La gloire qu’il avait acquise comme portraitiste du

roi d’Angleterre l’avait manifestement précédé. Par ailleurs, il avait été nommé doyen honoraire de la guilde anversoise de Saint-Luc, honneur

 dont seul Rubens avait bénéficié avant lui. Sa réputation lui permettait d’exiger des prix élevés pour son travail; durant les années 1634-1635,

pendant lesquelles il peignit principalement des portraits, il était effectivement considéré comme un peintre cher. La cour de Bruxelles profita

de la présence de Van Dyck aux Pays-Bas pour lui commander d’imposants portraits, où il s’exprima avec autant de brio que dans ses meilleures

œuvres anglaises.

Vers 1640, Van Dyck se sentit frustré par un manque de commandes intéressantes à Londres. Comme la situation politique se dégradait, il

 envisagea de rentrer aux Pays-Bas pour de bon. Lorsque Rubens mourut en 1640, on l’appela depuis Anvers pour qu’il reprenne la direction

de l’atelier du maître. Alors qu’il se préparait à déménager, il apprit que Louis XIII était sur le point d’adjuger un grand projet de décoration des

principales galeries du Louvre. C’était enfin la grande commande qu’il était le seul, selon sa conviction, à pouvoir mener à bien. Rubens, par son

cycle de peintures consacrées à la vie de Marie de Médicis, avait créé un précédent en tant qu’artiste flamand travaillant pour la couronne de France.

Van Dyck se rendit à Paris en janvier 1641, mais en mai il était de retour à Londres, où il peignit le double portrait de la princesse Mary et de Guillaume,

 prince d’Orange, à l’occasion de leur mariage. En octobre, nous le retrouvons à Anvers, et en novembre à Paris, où il apprit une décevante

nouvelle:

le projet du Louvre était attribué à Nicolas Poussin et à Simon Vouet. Des contemporains font allusion à sa santé défaillante durant ces mois de travail

intensif et de déplacements. A son retour à Londres, son état était critique. Le roi promit à son médecin personnel une somme de 300 livres

s’il réussissait

à guérir le peintre. Le 9 décembre 1641, il mourut à l’âge de quarante-deux ans. II fut enterré à la cathédrale Saint-Paul. Le roi fit ériger un

monument

commémoratif sur la tombe de son peintre favori. Malgré les richesses qu’il avait acquises, il laissa peu de biens, tant il avait dépensé en menant

 une vie somptueuse, plus digne d’un prince que d’un peintre.

 

http://www.balbifamily.com/index_main.htm   living in Genova and the place where  the jesuit Molina was exiled

ANTONI WANCLIK a  travaillé pour Charles 1er d’Angleterre , époux d’une sœur de Louis XIII, puis est parti travailler chez Madame Royale, Régente du Duché de Savoie  et autre sœur de Louis XIII  et belle sœur de Thomas François de Savoie.

 

 

House_of_Habsburg

 

Jan II Kazimierz Waza

[edytuj]

 

 

Jan II Kazimierz Waza
Z Bożej łaski król Polski, wielki książę litewski, ruski, pruski, mazowiecki, żmudzki, inflancki, smoleński, siewierski i czernihowski, a także dziedziczny król Szwedów, Gotów i Wandalów
1609-1672

Jan II Kazimierz.jpg
Signature of John II Casimir of Poland.PNG


Snopek - rodowy herb Wazów

Władca Polski

Władca

od 1648 do 1668

poprzednik

Władysław IV Waza

następca

Michał Korybut Wiśniowiecki

urodzony

22 marca 1609 w Krakowie

zmarł

16 grudnia 1672 w Nevers

wybrany królem

20 listopada 1648

koronowany

17 stycznia 1649 w Krakowie

abdykował

16 września 1668

pochowany

w katedrze na Wawelu

Ojciec

Zygmunt III Waza

Matka

Konstancja Habsburżanka

Rzeczpospolita w 1648

Jan II Kazimierz Waza (ur. 22 marca 1609 w Krakowie, zm. 16 grudnia1672 w Nevers) – król Polski w latach 1648-1668, tytularny król Szwecji do1660 z dynastii Wazów. Syn króla Polski i Szwecji Zygmunta III Wazy iKonstancji Habsburżanki, arcyksiężniczki austriackiej. Przyrodni bratWładysława IV Wazy.

Spis treści

 [ukryj]

·                     1 Tytuł królewski

·                     2 Biografia

·                     3 Panowanie

·                     4 Po abdykacji

·                     5 Próba oceny

·                     6 Ciekawostki

·                     7 Genealogia

·                     8 Zobacz też

·                     9 Przypisy

·                     10 Bibliografia

·                     11 Literatura dodatkowa

·                     12 Linki zewnętrzne

Tytuł królewski [edytuj]

Ioannes Casimirus, Dei Gratia rex Poloniae, magnus dux Lithuaniae, Russie, Prussiae, Masoviae, Samogitiae, Livoniae, Smolenscie, Severiae, Czernichoviaeque; nec non Suecorum, Gothorum, Vandalorumque haereditarius rex, etc.

Tłumaczenie: Jan Kazimierz, z Bożej łaski król Polski, wielki książęlitewski, ruski, pruski, mazowiecki, żmudzki, inflancki, smoleński, siewierskii czernihowski, a także dziedziczny król Szwedów, Gotów i Wandalów.

Biografia [edytuj]

Jan Kazimierz urodził się w niedzielę 22 marca 1609, był najstarszym z żyjących synów Zygmunta III Wazy i jego drugiej żony, a ponadto był ostatnim z Wazów urodzonym na Wawelu, przed przeniesieniem siedziby królewskiej do Warszawy. Wychowywał się w skromnych warunkach naZamku Królewskim pod opieką ochmistrzyni królowej Urszuli Gienger (ok. 1570-1635), nazywanej Meierin, lekcji udzielali mu jezuici, a nad całością czuwał sam król. W 1626, w czasie sejmu toruńskiego, z inicjatywy matki, a przez jej stronników, został zgłoszony jako kandydat na następcę tronu. Królowa Konstancja jego widziała na tronie, nie swojego pasierba a jednocześnie siostrzeńca, najstarszego syna Zygmunta III, królewicza Władysława. Obóz ultrakatolicki w Rzeczypospolitej, którego królewicz Kazimierz był uznawany za przywódcę, stracił jednak swoje znaczenie po nagłej śmierci królowej w 1631.

Młodość upłynęła przyszłemu królowi w znacznym stopniu na wojowaniu. W1629 ojciec zabrał go do Prus na wyprawę przeciwko Szwedom. W czasie elekcji brata był posłem do stanów Rzeczypospolitej, następnie brał udział w wojnie smoleńskiej, potem w konflikcie z Turcją. W drodze powrotnej miał dłuższy postój we Lwowie. Zaraził się tam ospą, która pozostawiła ślady na jego twarzy do końca życia.

25 czerwca 1635 w obliczu nowej wojny ze Szwecją podążył do Torunia. WWiedniu, gdzie pojechał na ślub Marii Anny – córki cesarza z Maksymilianem I – elektorem bawarskim, jako reprezentant króla prowadził pertraktacje w sprawie pomocy Habsburgów w walce przeciwko Szwedom. Otrzymał pod swoje dowództwo regiment kirasjerów i polskich ochotników, z którymi wyruszył na front wojny trzydziestoletniej do Alzacji. Powrócił do kraju po zawarciu przez Władysława IV rozejmu w Sztumskiej Wsi 12 września 1635.

Jan II Kazimierz

Ponieważ, mimo cesarskich obietnic, nie otrzymał księstwalennego, a sejm nie przyznał mu księstwa Kurlandii, więc przyjął propozycję godnościwicekróla Portugalii. Udał się do Hiszpanii, gdzie miał otrzymać coroczną pensję i zawrzeć małżeństwo. W czasie tej podróży, zatrzymał się na postój we Francjipozostającej w wojnie z Hiszpanią, gdzie został aresztowany na rozkaz kardynała Richelieu, pod zarzutem szpiegostwa na rzecz Hiszpanii. Był więźniem od 10 maja 1638 do lutego 1640, uwolniony po interwencji poselstwa Rzeczypospolitej, które przybyło do Paryża pod kierownictwem wojewody smoleńskiego Krzysztofa Korwina Gosiewskiego.

Po trzech latach, wbrew woli królewskiej, wyjechał do Włoch i wstąpił do zakonu jezuitów w Loreto, który opuścił jednak już po dwóch latach nowicjatu. Mimo braku święceń kapłańskich 16 maja 1646otrzymał od papieża godność kardynalską. Domagał się potem prawa używania tytułu książęcego i korony w herbie, a zakazywały tego kardynałom papieskie dekrety, czym wywołał zgorszenie współczesnych, w końcu ogłosił się stronnikiem Francji i kardynała Mazariniego, po czym w świeckim stroju ze szpadą u boku przyjechał do Polski.

W 1647, po śmierci 7-letniego królewicza Zygmunta jedynego syna Władysława IV, Jan Kazimierz stał się tytularnym spadkobiercą tronu szwedzkiego i przypuszczalnym następcą brata na tronie Rzeczypospolitej. Wówczas złożył na ręcepapieża Innocentego X godność kardynalską.

Po śmierci brata, Władysława IV Wazy, Jan II Kazimierz Waza został obrany królem Rzeczypospolitej 20 listopada 1648, po sześciu miesiącach trwającej wolnej elekcji. Uzyskał 4 352 głosy elektorskie szlachty. [1] 17 stycznia 1649 w katedrze wawelskiej arcybiskup gnieźnieński i prymas Polski Maciej Łubieński koronował Jana Kazimierza na króla Polski. W maju władca poślubił wdowę po swym bracie, księżniczkę francuską Ludwikę Marię Gonzaga.

Jan II Kazimierz w czasie bitwy pod Beresteczkiem

Panowanie [edytuj]

W okresie swego panowania Jan II Kazimierz Waza musiał się zmagać z trzema groźnymi wojnami. W latach 1648-1649 i 1651-1654 trwała wojna domowa w południowo-wschodniej części Rzeczypospolitej, zwana powstaniem Chmielnickiego, w którym prawosławnekozactwo i chłopstwo ukraińskie wystąpiło przeciwko panowaniu polskiej szlachtykatolickiej i walczyło z wojskami koronnymi. Powstanie to, wsparte przez Rosjędoprowadziło do wybuchu wojny polsko-rosyjskiej w latach 1654-1667, przerwanej w latach1656-1660 wybuchem wojny polsko-szwedzkiej (1655-1660, nazwanej „potopem szwedzkim” związanej z II wojną północną, gdyż prawie cała Rzeczpospolita została wówczas opanowana przez wojska szwedzkie.)

Jan Kazimierz

W 1648, Jan Kazimierz, pozostając pod wpływem kanclerza wielkiego koronnegoJerzego Ossolińskiego był początkowo zwolennikiem porozumienia z Bohdanem Chmielnickim. Jednak już w 1649, pozbawiony złudzeń, wyruszył w pole na czele wojsk Rzeczypospolitej.

W lecie 1649 idąc z odsieczą obleganemu Zbarażowi stoczył bitwę pod Zborowem, zakończoną podpisaniem ugody zborowskiej i przeciągnięciem na stronę polską chana krymskiego Islama III Gireja. W 1651 król dzięki swoim zdolnościom strategicznym odniósł świetne zwycięstwo nad połączonymi wojskami kozacko-tatarskimi w bitwie pod Beresteczkiem i zmusił kozaków do podpisania mniej korzystnej dla nich ugody w Białej Cerkwi. Mimo to powstania kozackie tliły się nadal i nie było spokojnie na południowo-wschodnich kresach Rzeczypospolitej. W styczniu 1654 Bohdan Chmielnicki, zaplątany w wojnę zSiedmiogrodem oraz dalsze walki z wojskami polskimi, i w sytuacji, gdy sprzymierzeni Tatarzy plądrowali także tereny Ukrainy, zawarł z Rosją ugodę w Perejasławiu, na mocy której Ukraina miała się stać jej częścią. W 1652, działając przez swoich stronników doprowadził do pierwszego, w historii Polski zerwaniasejmu.

Ugoda z Bohdanem Chmielnickim była równoznaczna z zerwaniem przez Rosjępokoju w Polanowie, choć nie dotyczyła ona województw podolskiego, wołyńskiego i ruskiego, które nadal pozostawały przy Koronie. W maju z pomocą Chmielnickiemu ruszyły na Ukrainę wojska rosyjskie, wpierw uderzając na Księstwo Litewskie. Rozpoczęła się wojna polsko-rosyjska 1654-1667. Armię rosyjską prowadził sam car Aleksy I Romanow, docierając w ciągu lata do Berezyny i Dźwiny oraz zajmując Połock, Smoleńsk, Witebsk i Mohylew. Ofensywę rosyjską wstrzymała dopiero wielka epidemia grypy, która nawiedziła całe państwo moskiewskie.

Siedmiogrodzka kolczuga paradna Jana Kazimierza

Hetman wielki litewski Janusz Radziwiłł za swe klęski oskarżał Koronę. Miał pretensje do króla Jana II Kazimierza Wazy, chciał dla Litwy neutralności w wojnie Moskwy przeciwko Rzeczypospolitej. W nowej sytuacji doszło do przymierza polsko-tatarskiego. 29 stycznia 1655rozegrała się bitwa pod Ochmatowem pomiędzy armią polsko-tatarskąhetmana wielkiego koronnego Stanisława Rewery Potockiego, a siłami kozacko-rosyjskimi, które wycofały się z pola walki, pozostawiając swe tabory. Tatarzy splądrowali wtedy oraz spalili dziesiątki miast i wsi Ukrainy, biorąc w jasyr dziesiątki tysięcy ludzi. Wiosną 1655 car wznowił działania wojenne, zdobył litewską stolicę Wilno i, po jej bezwzględnej pacyfikacji, ogłosił się dodatkowo wielkim księciem Litwy, Wołynia iPodola. Jednakże zaraz potem, wobec wystąpienia Szwecji przeciwko Rzeczypospolitej, wojna zakończona została rozejmem w Niemieży.

Najazd Szwedów na Rzeczpospolitą w 1655 r. nie spotkał się początkowo z większym oporem i wojska szwedzkie zalały w krótkim czasie prawie całe terytorium Korony i część Litwy. Prawie wszystkie województwa koronne przeszły na stronę króla Szwecji Karola X Gustawa, porzucając Jana Kazimierza. Król udał się 17 października doGłogówka w Księstwie Opolsko-raciborskiem, które dzierżył tytułemzastawu. 20 listopada wydał uniwersał opolski do narodu, wzywając w nim wszystkie stany do zbrojnego powstania przeciwko Szwedom[2]. Szala zwycięstwa zaczęła się przechylać na korzyść Polaków dopiero po udanej obronie Jasnej Góry i zawiązaniu przy królu konfederacji tyszowieckiej. Król, pragnąc podziękować za szczęśliwy obrót spraw złożył śluby lwowskie 1 kwietnia 1656. W dniach 30 maja-1 lipca 1656 król wziął udział w oblężeniu Warszawy, dowodził wojskami polskimi w bitwie pod Warszawą (28-30 lipca). W dniach 24 czerwca-23 sierpnia 1657 uczestniczył w oblężeniu Krakowa, a od 26 września do 23 grudnia dowodził oblężeniem Torunia. W 1657 zbliżył się do Francji, mając nadzieję na jej mediację w konflikcie polsko-szwedzkim. Na sejmie 1658 poparł uchwałę, mocą której z Rzeczypospolitej zostali wygnani arianie.

Ostatecznie jednak Szwedzi wyparci zostali z Rzeczypospolitej do maja 1660, a wojna zakończyła się zawarciem pokoju w Oliwie. Niedługo potem Jan Kazimierz rozpoczął starania o przeprowadzenie elekcji vivente rege księcia d'Enghien (księcia francuskiego), Henryka Juliusza Burbon-Condé. W 1661 porzucił jednak ten projekt, wobec stanowczego oporu sejmikówziemskich.

Śluby lwowskie Jana Kazimierza, obraz Jana Matejki

Na Ukrainie, po śmierci Chmielnickiego w 1657 r., zawarta została z hetmanem Iwanem Wyhowskim i starszyzną kozacką ugoda hadziacka1658, która stanowiła Księstwo Ruskie w ramach Rzeczypospolitej i równała religię greckokatolicką z rzymskokatolicką. Potwierdzona przez sejm w 1659 r., była to jak by unia trzech narodów. Nie została jednak zrealizowana wobec kozackiego powstania ludowego i wznowienia wojny rosyjsko-polskiej w 1660 r. Zaprawione w bojach ze Szwedami wojska Stefana Czarnieckiego i hetmana polnego koronnego Jerzego Sebastiana Lubomirskiego wspierane przez ordę tatarską Mehmeda Gireja wyparły Rosjan z terenów Rzeczypospolitej do linii Dniepru. Potem wojna prowadzona była ze zmiennym szczęściem, w latach 1663-1664 Jan II Kazimierz Waza zorganizował nawet nową wyprawę moskiewską, jednakże nie przyniosła ona rezultatów.

Równocześnie w kraju rozgorzały spory, a od 1663 r. gorąca wojna domowa o elekcję po Janie II Kazimierzu Wazie, który zapowiedział swąabdykację. Bardzo czynne było stronnictwo francuskie królowej Ludwiki Marii Gonzagi finansowane przez króla Francji Ludwika XIV i preferujące francuskiego kandydata na tron polski. Nieopłacane wojska zawiązałykonfederację wojskową, popieraną przez hetmana Lubomirskiego. W 1664Jan Kazimierz oskarżył Lubomirskiego o zdradę przed sądem sejmowym. Po wyroku skazującym go na banicję Lubomirski rozpoczął rokosz Lubomirskiego. Król wyruszył na czele wiernych mu oddziałów przeciwko banicie. Wojna domowa trwała kilka lat i zakończyła się ugodą w Łęgonicach 31 lipca 1666, po przegranej przez wojska królewskie krwawej bitwie pod Mątwami w 1666. Władca zmuszony został wyrzeczenia się swoich planów elekcji vivente rege.

Rzeczpospolita w 1660 roku

W 1666 r. zdetronizowany też został przez Stambuł przyjazny Polsce chan krymski Mehmed Girej. Cesarstwo osmańskie szykowało się do zajęcia w swe lenno Ukrainy, w której do władzy doszedł sprzymierzony zWielką Portą hetman Piotr Doroszenko. Sojusze się więc znów odwróciły. Kozacy sprzymierzeni ponownie z Tatarami rozbili wojska koronne, którymi po śmierci hetmana polnego koronnego Stefana Czarnieckiego dowodził regimentarz Sebastian Machowski. W sytuacji nowego zagrożenia został zawarty z Rosją w 1667 r. rozejm w Andruszowie. Kończył on 13-letnią wojnę polsko-rosyjską, licząc z przerwą na „potop szwedzki”. Na jego mocy Rzeczpospolita straciła Smoleńsk i Zadnieprzańską Ukrainę z Kijowem, była wszak nadal wielkim krajem, liczącym 733 500 km² powierzchni. Po rozejmie andruszowskim Doroszenko poddał się sułtanowi, który wysłał przeciw Polsce Tatarów krymskich. Wojskami koronnymi dowodził pułkownik Jan Sobieski. Rozproszył on swe szczupłe oddziały i nękał czambuły tatarskie, sam z częścią wojska zamknął się w naturalnej twierdzyPodhajce, jaką Tatarzy oblegli, ponosząc duże straty w szturmach. Nieposłuszne Doroszence oddziały kozackie wtargnęły wtedy na Krym, co stało się przyczyną zawarcia przez Turków pokoju z Polakami.

Nagrobek serca Jana II Kazimierza w kościele Saint-Germain-des-Prés

Po abdykacji [edytuj]

Jan II Kazimierz Waza zrzekł się korony 16 września 1668, a 30 kwietnia 1669 wyjechał do Francji, gdzie uzyskał niezwykle dochodowe opactwo Saint-Germain-des-Prés, którego został 76 opatem. Prowadził dość świecki tryb życia, zostając w tym czasie ojcem nieślubnej córki Katarzyny (jej losy po śmierci ojca są nieznane). Zmarł cztery lata po abdykacji 16 grudnia 1672. Podobno przyczyną zgonu był atak apopleksji jakiego doznał po otrzymaniu wiadomości o upadku Kamieńca Podolskiego. 31 stycznia 1676 został pochowany w katedrze wawelskiej, jego serce znajduje się w kościele Saint-Germain-des-Prés w Paryżu.

Próba oceny [edytuj]

Współcześni oceniali go bardzo surowo. Od pierwszych liter jego monogramu “Ioannes Casimirus Rex” mówiono o nim “Initium Calamitatis Regni” – początek nieszczęść królestwa.

Po 80 latach panowania Wazów, Rzeczpospolita znajdowała się w opłakanym stanie. Wojny na południowym wschodzie, wInflantach, a zwłaszcza „potop szwedzki”, który zalał prawie cały kraj, bardzo poważnie zrujnowały gospodarkę kraju. Ludność zmniejszyła się o ok. 30% i wynosiła 6-7 mln, większość gruntów leżała odłogiem, tak znacznie zmniejszyła się produkcja zbóż, że mimo kilkakrotnie mniejszego ich eksportu, niż na początku XVII w. bywały lata głodu, gdy nie starczało zboża na potrzeby własne ludności.

Jan Kazimierz w polskim stroju.

Nastąpiła powszechna pauperyzacja chłopstwa, ludności miast, zubożała szlachta, zmarniała „demokracja szlachecka”, rozpanoszyło się sobiepaństwo i magnateria. Popsuły się także, oparte na tolerancji, relacje między katolikami, protestantami i prawosławnymi. Utrzymała swój stan posiadania jedynie magnateria, która też sprawowała władzę, nie licząc się z interesem państwa i władzy królewskiej.

Nie sposób natomiast królowi odmówić pewnych talentów militarnych. Był też człowiekiem osobiscie odważnym, nie oszczedzał się w czasie kampanii wojennych i był odporny na trudy wojaczki.

Po abdykacji Jana II Kazimierza Wazy sejm elekcyjny 19 czerwca 1669 wybrał na króla Polski Michała Korybuta Wiśniowieckiego, który panował do 1673 r.

Ciekawostki [edytuj]

§                     Podczas sejmu w 1661 roku, Jan Kazimierz w czasie przemówienia argumentował sens przeprowadzenia elekcji vivente rege i trafnie wtedy przepowiedział rozbiory Polski (tzw. przepowiednia Jana Kazimierza). Mówił bowiem:
Moskwa i Ruś odwołają się do ludów jednego z nimi języka i Litwę dla siebie przeznaczą; granice Wielkopolski staną otworem dla Brandenburczyka, a przypuszczać należy, iż [ten] o całe Prusy certować [starać się] zechce, wreszcie Dom Austriacki spoglądający łakomie na Kraków nie opuści dogodnej dla siebie sposobności i przy powszechnym rozrywaniu państwa nie wstrzyma się od zaboru.[3] Powtórzył podobne słowa w czasiesejmu abdykacyjnego.

§                     W roku 1645 papież Innocenty X nadał w Rzymie Janowi Kazimierzowi godność kardynała diakona. Zwano goniedonoszonym kardynałem, ponieważ nie wystarczał mu sam tytuł eminencja i uporczywie kazał się zwracać do siebie Wasza Najjaśniejsza Wysokość. Stolica Apostolska nie przystała na takie praktyki, ale Waza zapowiadał, iż obije gębękażdemu, kto, zwracając się doń, pominie ten tytuł. Nie mogąc osiągnąć porozumienia, Jan Kazimierz pod koniec roku1646 zrezygnował z godności kardynała.

§                     Po wyjechaniu do Francji król przyjął tam nazwisko Snopkowski (vasa to po szwedzku snopek) [4].

Genealogia [edytuj]


 

Jan III
Waza

ur. 21 XII 1537
zm. 17 XI 1592

 

Katarzyna Jagiellonka
ur. 1 XI 1526
zm. 16 IX 1583

 

Karol
Styryjski

ur. 3 VI 1540
zm. 10 VII 1590

 

Maria Anna
Wittelsbach

ur. 21 III 1551
zm. 29 IV 1608

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zygmunt III
Waza

ur. 20 VI 1566
zm. 30 IV 1632

 

Konstancja Habsburżanka
ur. 24 XII 1588
zm. 10 VII 1631

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Ludwika Maria Gonzaga

ur. 18 VIII 1611
zm. 10 V 1667
OO   31 V 1649

Jan II Kazimierz
ur. 22 III 1609
zm. 16 XII 1672

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maria Anna Teresa
 ur. 1 VII 1650
 zm. 1 VIII 1651
 

Jan Zygmunt
 ur. 6 I 1652
 zm. 20 II 1652
 

 

 

 

gengen

Zobacz też [edytuj]

§                     historia Polski

§                     władcy Polski

Przypisy

1.      Jerzy Dunin-Borkowski i Mieczysław Dunin-Wąsowicz, Elektorowie królów Władysława IV., Michała Korybuta, Stanisława Leszczyńskiego i spis stronników Augusta III. Lwów 1910, s. VI.

2.       Historia klasztoru. www.opole.franciszkanie.pl. [dostęp 10 kwietnia 2009].

3.       Dodatek do Rzeczypospolitej:Historia Rzeczypospolitej:Władcy Polski, Nr.24, Jan II Kazimierz Waza, str.:12, opracował Mirosław Nagiewski historyk, redaktor Mówią Wieki.

4.       Źródło: Podręcznik Moja Historia do klasy 6 część 1 wydawnictwo nowa era

Bibliografia [edytuj]

Tadeusz Wasilewski: Jan Kazimierz. Warszawa: 1985. ISBN 83-00-00962-0. 

§                     Oswald Pietruski, Elektorów poczet, którzy niegdyś głosowali na elektorów Jana Kazimierza roku 1648, Jana III. roku 1674, Augusta II. roku 1697, i Stanisława Augusta roku 1764, najjaśniejszych Królów Polskich, Wielkich Książąt Litewskich, i.t.d., Lwów 1845

Literatura dodatkowa [edytuj]

§                     Zbigniew Wójcik, Jan Kazimierz Waza - biografia, Zakład Narodowy im. Ossolińskich, Wrocław 2004, ISBN 8304047179

Linki zewnętrzne [edytuj]

§                     Akt elekcji Jana Kazimierza na króla polskiego z dnia 20 XI 1648 roku

§                     Obraz z około 1665-1667 roku przedstawiający Jana II Kazimierza, autor nieznany

§                     Uniwersał przedsejmowy króla Jana Kazimierza informujący o zwołaniu sejmu zwyczajnego i sejmiku przedsejmowego ziemi dobrzyńskiej z 31 VIII 1666 roku


 

Poprzednik
Władysław IV Waza

Herb Rzeczpospolitej Obojga Narodow.svg

król Polski
i wielki książę Litwy

1648-1668

Herb Rzeczpospolitej Obojga Narodow.svg

Następca
Michał Korybut Wiśniowiecki

Poprzednik
Karol Ferdynand Waza

Śląskie herb.svg

Książę opolsko-raciborski
1655-1666
tytułem zastawu

Śląskie herb.svg

Następca
Leopold I Habsburg

Jan Wanc

Antoni Wanclik or  Sir Anthony van Dyck ?

 Google a trouvé un texte du XVIII  ème siècle écrit en espagnol où le nom de van Dyck est écrit Wanclik.

En espagnol, il n'y a pas de lettre W ,donc, l'auteur  un jésuite chilien ,publiant  en espagnol, a du trouver cette information quelque part pour la reprendre. sous cette orthographe.L'auteur aurait été assisté par Molina, le précurseur de Darwin et des théories de l'évolution..

Si on situe les faits dans le temps, Anton WANCLIK est né à Anvers en 1599,sa mère et son père et son grand père  étaient  des négociants en Art et lui ont donné le goût de la peinture. Anvers était sous contrôle des Habsbourg et de l'Espagne. Le texte trouvé date du XVIIIème et est écrit en espagnol.L’Empereur de l’Empire Romain envoyait ses enfants chez les jésuites pour y faire leur éducation.Et c’est un jésuite , on peut dire même deux qui écrivent le nom de Van Dyck avec l’orthographe polonaise alors que le peintre lui-même signe ses lettres avec l’orthographe de l’homme anobli par Charles 1er.

L'objectif est de retrouver ce qui reliait WANCLIK au prince polonais prisonnier en France.

La guerre de trente ans faisait rage et Jean Casimir à été pris en traversant la France alors qu’il se dirigeait vers l’Espagne..Il a été emprisonné pour deux ans, et c’est au moment où il est libéré que Antoni WANCLIK a vécu dans son entourage..

Antoni vivait à Buckingham .L’épouse du Roi d’Angleterre ,était une sœur de Louis XIII  tout comme Madame Royale qui était régente de la Savoie, endroit où Charles 1er lui avait conseillé d’aller lorsqu’il est arrivé la première fois chez lui.

Thomas Wenthworth , comte de Stafford était le principal ministre de Charles 1er depuis 1633.

Le prince polonais  JAN II Kazimierz WAZA ERIKSON ,fils du Roi de Pologne et de Suède et de Constance de Habsbourg ,était prisonnier de en France de 1638 à 1640 pour avoir combattu la France pendant la guerre de trente ans ;..

Le fait qu'il se soit intéressé au destin d'un prince prisonnier ,permet d' émettre plusieurs hypothèses.

Il a seulement voulu faire son portrait ou bien ils avaient des liens familiaux d'un côté ou bien de l'autre.Kazimierz était un Habsbourg. Anton peut-être aussi..Je choisi l’hypothèse qu’il était descendant d’une lignée des Wenz .Je viens de trouver le sens du mot lick en anglais qui a un synonyme belittle. On dirait le petit WENZ .

Dans un contexte plus ancien il y a GALBA VANDALICUS TIBERIUS CLAUDIUS  qui a été Empereur de 65 à 79 de notre ère . Le mot vandale indique que l’Empire Romain a vaincu les Vandales. LICUS ressemble à lik..

Ou bien ce sont d'autres  intérêts  qui les ont rapprochés, le hasard étant exclu..

Le fait que Anton WANCLIK  soit né à Anvers , une des plus grandes villes du monde à l'époque et qui était aux mains des Habsbourg  et de la couronne d'Espagne,  n'indique pas  les origines ethniques de Anton mais le fait qu'il ait pu devenir l'élève de Rubens, indique que sa famille avait les moyens de placer sa progéniture chez le maître de l'époque, pour autant que son talent ait été précoce. Rubens lui aurait spontanément conseillé de partir en Angleterre pour travailler pour Charles 1er qui dans un premier n'a pas voulu de lui et lui a permis de partir à la cour de Savoie chez la sœur de son épouse, qui était régente..

Il est alors parti en Savoie .Ayant son talent reconnu là-bas, Charles 1er l'a fait appeler à son service et l'a anobli.

On le retrouve en France auprès du  prince futur Roi élu de Pologne, prisonnier peut-être à Nevers ou a Vincennes.. juste quelques mois autour de sa libération, quelques mois avant sa propre mort; est-il intervenu pour obtenir sa libération, n'a-t-il que peint son portrait ?

Ce prince à été ensuite élu  Roi de Pologne et l'est resté pendant vingt ans et a aussi été nommé cardinal., luttant contre une multitude d'ennemis, et devenant le Roi de Suède.Il est ensuite venu s'installer en France et a  choisi de s'appeller  Snopkowski,  en traduisant son nom Waza par le mot suédois SNOPEK, qui signiefierait la même chose

Jan II Kazimierz Waza (ur. 22 marca 1609 w Krakowie, zm. 16 grudnia1672 w Nevers) – król Polski w latach 1648-1668, tytularny król Szwecji do1660 z dynastii Wazów. Syn króla Polski i Szwecji Zygmunta III Wazy i Konstancji Habsburżanki, arcyksiężniczki austriackiej. Przyrodni brat  Władysława IV Wazy.

Avec le temps, on pourra en savoir davantage., Google peut trouver autre chose et les analyses ADN  pourront aussi faire des rapprochements .Une WANCLIK s'est mariée au XXème siècle avec un Radziwill aux USA; donc il y a un lien entre ce nom et des familles de pouvoir, qui traditionnellement ne se mélangent pas, comme on le voit encore aujourd'hui en Inde, où les castes continuent à prévaloir..

Il doit y avoir des informations privées .

Il y a des familles en Angleterre qui possèdent des archives  généalogiques remontant jusqu'à l'empire romain..

Google , la seule organisation ayant les moyens financiers ,techniques et la volonté de  scanner des millions de livres et d'archiver tout ce qui est écrit à la vitesse du son, et qui probablement  va exister longtemps, trouvera d'autres choses .il suffit donc d'attendre  un peu pour pouvoir connaitre le passé. comme les ours attendent le saumon au bord des cours d'eaux qui remontent vers le lieu où les saumons sont nés. pour tenter leur chance de s'y reproduire.(Il faudrait pouvoir scanner les livres du Vatican

qui doivent être une vrai lampe d'ALADIN capable d'éclairer biens des faits historiques.)

http://en.wikipedia.org/wiki/Władysław_IV_Vasa

http://en.wikipedia.org/wiki/Anna_of_Austria_(1573–1598)

http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_II_of_Austria

http://en.wikipedia.org/wiki/Sigismund_III_Vasa

http://en.wikipedia.org/wiki/John_III_of_Sweden

http://en.wikipedia.org/wiki/Catherine_Jagellonica_of_Poland

On considère que la première bourse des valeurs (au sens moderne) a été celle d’Anvers, fondée en 15312 ; la première bourse de commerce d'Europe y fut aussi fondée en 1460.

Au milieu du xvie siècle, la région profita du rôle dominant de la ville, qui était alors la plus grande d'Europe et qui resta pendant longtemps un très grand centre culturel et artistique. Dans la deuxième partie du siècle Anvers fut le théâtre d’une lutte politico-religieuse entre le Nord protestant et la très catholique Espagne.

En 1585, la ville tombe aux mains de Philippe II et les Provinces-Unies ferment l’accès à l’Escaut, provoquant naturellement des conséquences catastrophiques sur l’économie de la ville. Fuie par les protestants qui constituaient une très large part de l’élite commerciale et intellectuelle, Anvers voit sa population se réduire de moitié en moins de 20 ans. 3

Puis jusqu’à la moitié du xviie siècle, elle profite de la présence d’artistes tels que Rubens, Van Dyck, Jordaens et Teniers ou encore les familles de sculpteurs Quellin et Verbrugghen ainsi que plusieurs imprimeurs et les célèbres facteurs de clavecins anversois.

Le pétrole au Brésil , une province de 150.000 km2 à 8 km de profondeur sous une couche de sel contenant des milliards de barrils

nouveaux cartables au PORTUGAL

                 D'après des jésuites, le peintre Anton Van Dyck s'appelait Wanclik, avant d'avoir été anobli par Charles I d'Angleterre. Il a vécu dans l'entourage de Jean  Casimir Vaza en 1640 à sa sortie de prison à Vincennes. Jean Casimir avait combattu la France pendant la guerre de trente ans et s'est fait prendre lorsqu'il traversait la France pour aller en Espagne. Jean Casimir s'était alors rapproché des jésuites. Il a été élu Roi de Pologne et de Suède en remplaçant son frère et en épousant sa veuve, une descendante de François 1er ;Il a donc été Roi de Pologne  pendant vingt ans, mais aussi Roi de Suède, donc Roi des Vandales.je suis à la recherche des possibles origines de Anthony Van Dyck. Je constate qu'il à vécu dans la haute aristocratie de son époque.

WANCLIK est né à Anvers en 1599.C'est là que le Roi de Pologne Zygmunt II a   envoyé son fils Ladislas Waza futur roi de Pologne pour apprendre l'art de faire la guerre à l'occidentale en 1624-1625.

Jean Casimir Waza  a renoncé à sa couronne après vingt ans de guerres et est venu s'installer en France.-

Louis XIII dit le Juste (27 septembre 1601, Fontainebleau-14 mai 1643, Saint-Germain-en-Laye), roi de Franceet de Navarre (1610-1643). Il est le fils d'Henri IV et de Marie de Médicis et le père de Louis XIV.

Son règne est marqué par l'abaissement des Grands et des protestants, la traite negrière, ainsi que par la lutte contre la maison de Habsbourg. L'image de ce roi est inséparable de celle de son principal ministre, le cardinal de Richelieu, son soutien indéfectible dans l'établissement de l'absolutisme.

Armand Jean du Plessis, cardinal-duc de Richelieu et duc de Fronsac, pair de France, ministre de Louis XIII. Né à Paris le 9 septembre 1585, il meurt le 4 décembre 1642 à l'âge de 57 ans.

Initialement destiné au métier des armes, il est contraint de rentrer dans les ordres afin de conserver à sa famille le bénéfice de l'évêché de Luçon. Il devient secrétaire d’État en 1616 puis cardinal en 1622 et principal ministre de Louis XIII en 1624. Il reste en fonction jusqu'à sa mort, en 1642 ; le cardinal Jules Mazarin lui succède.

La fonction exercée par Richelieu auprès de Louis XIII est souvent désignée par le qualificatif de premier ministre, alors que le titre n'existe pas à l'époque. Aussi le cardinal est-il parfois considéré comme le premier des Premiers ministres que le monde ait connus. Son action englobe aussi bien des dimensions politiques, diplomatiques et coloniales que culturelles et religieuses.

Réputé pour son habileté voire son caractère jugé retors, souvent critiqué pour sa fermeté intransigeante, il fait du concept moderne de raison d'État la clé de voûte de ses méthodes de gouvernement et de sa vision diplomatique et politique. En lutte à l'intérieur contre la noblesse et les protestants, et à l'extérieur contre les Habsbourg, réprimant sévèrement aussi bien les duels meurtriers que les révoltes antifiscales paysannes, il est considéré comme un fondateur essentiel de l'État moderne en France.

Son action est un dur combat pour un renforcement du pouvoir royal, qui s'affirmera d'une manière plus triomphante sous le gouvernement personnel de Louis XIV (1661-1715) et plus apaisée sous celui du cardinal Fleury (1726-1743). Cette nouvelle forme de la monarchie sera plus tard désignée par le terme d'absolutisme.

Charles Ier Stuart (19 novembre 1600, Dunfermline  30 janvier 1649, Londres) fut roi d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande de 1625 à 1649. Second fils du roi Jacques VI d'Écosse, qui allait devenir Jacques Ier d'Angleterre en 1603, il épousa Henriette-Marie de France, fille d'Henri IV et de Marie de Médicis le 11 mai 1625.

Après la mort de son frère aîné Henri Stuart en 1612, il devient l'héritier et prince de Galles. Partisan de l'absolutisme, Charles Ier doit faire face à une guerre civile, et est victime de la première révolution anglaise. Il estdécapité et la monarchie remplacée par le Commonwealth de l'Angleterre, auquel se substitue bientôt ladictature personnelle d'Olivier Cromwell.

Il fut canonisé par l'Église d'Angleterre en 1660.

Antoine van Dyck

 

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Antoon van Dyck

Autoportrait

Autoportrait

Nom de naissance

Antoon van Dyck

Naissance

22 mars 1599
Anvers

Décès

9 décembre 1641
Blackfriars

Nationalité

Flag of Flanders.svg Flandre

Formation

peintre

Maître

disciple, et non élève, de Rubens

Mécènes

Charles Ier d'Angleterre, Sir Kenelm Digby

Influencé par

Rubens, Titien.

Influença

Tous les portraitistes qui suivirent, surtout les anglais (Gainsborough par exemple).

Récompenses

Fait Chevalier par Charles Ierd'Angleterre, nommé doyen honoris causa de la confédaration de Saint-Luc d'Anvers.

Sir Anthony (Antoon) van Dyck, né le 22 mars 1599 à Anvers et mort le 9 décembre 1641 à Blackfriars, près de Londres, est un peintre baroque, surtout portraitiste, flamand, qui a été le principal peintre de cour en Angleterre. Il était aussi un maître de la gravure à l’eau-forte.

Sommaire

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·                     1 Biographie

·                     2 Notes et références

·                     3 Galerie

·                     4 Voir aussi

o                                        4.1 Articles connexes

o                                        4.2 Bibliographie

o                                        4.3 Liens externes

Biographie [modifier]

Fils d’un riche marchand de textile, Antoon van Dyck est né à Anvers et est devenu peintre indépendant en 1615. Après avoir été remarqué par son talent, il commença par être le principal assistant de Pierre Paul Rubens entre 1610 et 1614. En 1620, il partit en Angleterre pour la première fois mais ne réussit pas à se faire présenter au roi Jacques Ier d’Angleterre. Quatre mois plus tard, il repartit en Flandres. Il séjourna ensuite en Italie où il étudia pendant six ans les maîtres italiens tels que Titien et Véronèse et où il jeta les fondations de sa carrière de portraitiste à succès. Il s’installa plus précisément à Gênes où il décora les palais somptueux des nobles Génois de tableaux religieux et de portraits dans lesquels il mettait toujours en valeur la position sociale importante de ses modèles. En 1627, il retourna à Anvers où il peignit une grande quantité de chefs-d’œuvre pendant plusieurs années. Sa réputation parvint aux oreilles de Charles Ierd’Angleterre qui le rappela. En 1632, Van Dyck retourna à Londres. Son succès en Angleterre fut rapide. Il réalisa des portraits du roi Charles, d’Henriette d'Angleterre, de la fille du roi, et d’innombrables personnages de la cour en plus de ses autoportraits et des portraits de sa maîtresse, Margaret Lemon. À la fin de sa vie, il se contentait d’apporter la touche finale aux portraits peints pour la plus grande partie par ses disciples selon ses esquisses.

Il fut fait chevalier le 5 juillet 1632, et nommé premier peintre ordinaire de Sa Majesté en 1633. Il recevait une forte pension et épousa la fille de Lord Ruthven. Sir Anthony Van Dyck créa pour la cour d’Angleterre des œuvres dans lesquelles s’affirme le pouvoir du roi en tant que monarque absolu. En 1634, il fit un court voyage à Anvers et un autre en France en 1641.

À sa mort, Antoon van Dyck fut inhumé à la cathédrale Saint-Paul.

Van Dyck eut une grande influence sur les portraitistes anglais et, par suite, on le considère souvent comme le créateur de l’École anglaise de peinture.

Un pigment de peinture à l’huile, le brun van Dyck1, lui doit son nom, ainsi qu’un procédé photographique, le procédé Van Dyke.

En 1397, les trois États de Norvège, Danemark et Suède s’unirent sous un seul monarque dans le cadre de l’Union de Kalmar. Au cours du xve siècle, les Suédois durent ensuite résister aux tentatives de centraliser l’autorité sous la couronne danoise, parfois jusqu’à prendre les armes. La Suède finit par quitter l’Union en1521, lorsque Gustave Eriksson Vasa, plus connu sous le nom de Gustave Ier de Suède, rétablit l’indépendance de la couronne suédoise.

Le règne de Gustave Vasa se caractérisa par l’adoption de la Réforme protestante, une nouvelle consolidation de l’État et une participation accrue des bourgeois aux décisions publiques par la création d’une assemblée à quatre chambres (le Riksdag). Gustave Vasa, roi bâtisseur et pacifique, est souvent considéré comme le père de la nation suédoise.

 

 

 

http://culture-et-debats.over-blog.com/article-1077494.html  CINQ MARS